Chapitre 6

142 13 1
                                    

Je le vois au bout du couloir, je me cache le plus loin possible de lui. Puis je me rappel que je n'ai plus mon passeport en faite c'est le moment de demander si il n'a pas mes papiers sur lui. En plus qu'est ce qu'il va faire devant tous ces personnes, et il est fiancé.

Je croise son regard, puis il me regard de manière étonné et finis par arqué un de ces sourcils pour finir par sourire. Un sourire chaleureux et très charmant à mon goût. Il fait ce sourire à tout les femmes je suppose pour les faire craqué mais ça ne marche pas sur moi.

Il s'approche de moi, la porte de l'entrée qui nous amène dans la salle d'exposition n'est pas très loin.

-Je peux enfin vous revoir et dire que je faisais des recherches. Je n'avais pas à faire autant d'efforts, vous êtes juste là à côté de moi. Comme si notre destin était lié.

- Je ne dirais pas le destin mais un coïncidence. Je voulais juste vous demandez si vous avez mon passeport. J'en ai besoin pour retourner à New York

Je ne serais vous dires si il est étonné ou alors dégoûté de mon envie de partir de Milan mais il change vite son grimace pour retrouver son sourire radieux.

- Venez le chercher vous même dans humble demeure, cela me ferait plaisir de vous voir chez moi pour voir un petit un café.

- Non merci, oh pire des cas on peut ce voir dans un restaurant. Je veux éviter de vous déranger vous et votre mère.

- si vous le dites. Il s'avance près de la porte, je fais de même mais il s'arrête à mis chemin de l'escalier pour ce rapprocher de moi.

Il s'approche de moi jusqu'à que je sente son parfum boisé et épicé. Puis prend mes deux joues entre ces mains pour redresser mon visage puis il se penche pour poser ces lèvres sur les miens.

Je reste complètement stoïque face a cet acte, mes yeux grand ouvert quand à lui il a fermé ces yeux pour savourer ce baiser interdit. Je ne réfléchis pas une ou deux fois que je le pousse mais il est complètement robuste. Il ne bouge pas d'un poil, tout le monde est choqué et tape des mains comme si nous jouons dans une fin de pièce de théâtre.

Il lâche enfin mes lèvres, la chaleur monte en moi du à la honte. Mais oreilles surchauffe à cause du stresse. Je n'ose même pas regarder les gens qui sont en bas en train de nous observer. Je monte les étages et fuis complètement la foule d'en bas.

Je sens ces pas qui me suis mais je continue ma traverser. Il m'attrape le bras, je me tourne pour lui faire face. J'ai complètement honte, je n'ose même pas le regarder alors que ce n'est même pas moi qu'il est embrassé.

- Tu t'enfuis où comme ça?

Je le regarde énervé comme si j'étais folle et qui n'avais pas de logique dans ma tête .

- Ah parce que pour toi c'est normal d'embrasser une parfaite inconnue. C'est peut être moi qui n'est pas normal c'est ça. Le nombre de personne que je dois faire face maintenant à cause de vos connerie.

Il se retourne pour voir si il y a des gens qui nous regarde mais apparement c'est le cas. Il me prend la main pour nous emmener dans un bureau où tout est bien rangé et aligné. Un tapis très original est posé au sol, qui prend la moitié de la pièce.

- Y'a quoi de mal d'embrasser un homme, je suis si moche que ça. Il y a beaucoup de femme qui désire être à votre place mais vous ce n'est pas le cas.

-Je m'en contre fiche que des femmes désire être à ma place, car je ne veux pas être ici. J'ai déjà un petit ami qui pense m'épouser donc si tu peux oublier ce baiser même tout les moments que j'ai eu avec toi ce sera un plaisir.

- regarde passons un compromis, tu deviens ma fiancé et je t'achète toute la collection. Comme ça tu seras promu de ton travail. Mais si jamais tu ne veux pas faire ce compromis, je dissuaderais les autres d'acheter tes produits. Je ne pense pas que ton patron sera heureux d'apprendre que le chiffre d'affaire qu'il voulait temps faire n'a pas aboutit à cause de vous.

- Je vais vous rappeler quelque chose, je vais bientôt épousé l'homme que j'aime donc je ne veux pas de vos compromis. Et qui va vous écoutez, vous êtes qui pour dire aux personnes ce qui doivent acheter ou non.

- Je vous signal juste, votre patron a payer chère pour vous que soyez ici pour montrer les pièces rares que vous vendez. Ça sera bénéfique pour vous et pour moi.

- je ne comprend toujours pas en quoi vous êtes bénéfique dans cette histoire? Lui demandais-je

- j'essaye de fuir un fiançailles que je ne veux pas.

- a parce que celui ci vous le désirer. Vous êtes extrêmement bizarre, si vous avez finit. J'aimerais bien sortir d'ici. Je dois être en bas pour guider les clients à choisir le bijoux.

Il me montre de la main la porte comme pour donner une autorisation à sortir de la pièce. Mais il se prend pour qui pour me dicter ce que je dois faire. Et puis quoi encore.

Je sens une vibration dans mon jean de téléphone quand je vois que ce n'est autre que mon copain. Je décroche le télé

-C'est quoi cette histoire c'est qui cet homme? je te laisse aller en Italie pour faire ta pute.

- Comment ose tu me parler comme ça alors que tu n'as pas tout l'histo...

- Tu sais quoi je n'ai jamais essayé de te le dire mais je voulais dire que je te trompe depuis bien lurette, c'est bien que tu face ta pute avec lui au moins je n'aurais pas une conscience sur mes épaules.

- Qu'est ce que tu raconte, tu ose me tromper pendant tout ce temps. Et la bague?

-Quel bague ?

- La bague dans la poche de ta veste.

-tu croyais vraiment que j'allais te demander de m'épouser, je n'attendais qu'à te baiser. Baiser une vierge ça a l'air tell....

Il ne finit même pas sa phrase que je raccroche. Je retourne vers le bureau ou ce trouve le voleur de mon premier baiser.

- J'accepte mais à une condition, que tu ne me touche pas. Est ce bien clair? Après un temps défini on se quittera.

- Pour les quelques petits caresse et le temps défini je ne suis pas d'accord mais si c'est ça tes conditions. Je ne dis pas non. De tout manière tu finiras bien dans mes bras. Mon amour , me dit-il avec un ton aguicheur.

L'amour commence maintenant  tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant