L'amour commence maintenant tome 2

Chapitre 7

Je le regarde et roule les yeux pour me moquer royalement de lui.

-Après ça on fait quoi? Je demande d'un ton un peu énervé à la situation.

-On reste fiancé et on verra par la suite. On laisse notre chemin se faire tout seule.

-D'accord. Bon je retourne comme même chez moi demain. Je dois faire un rapport.

-Attend je n'ai pas encore sortie mon chèque.

-De quel chèque tu me parle ?

-Bah pour les bijoux.

-Non je veux une vente honnête.

-Tu ne veux pas un collier qui vaut des millions d'euro.

-Moi? Non merci. Je veux que sa soit un client qui veut et qui est satisfait du bijoux que je lui propose. C'est moi même qui à travailler sur ces pièces avec mes collègues.

Je regarde un peu les alentours. Je n'y crois pas que je me retrouve dans ce genre de situation. Ce n'est que du cirque.

-Tu t'appelle comment déjà?

- Gabrielle mon cœur. Vitalli le nom de famille.

- Et tu travail dans quoi?

-J'ai une grosse chaîne d'exportation de marchandises. Pour te faire simple je m'occupe à ce que les marchandises sont bien à leur dépôt de vente. D'autre question la miss.

- A vrai dire, j'en ai beaucoup . Mais ce n'est pas le moment. En rentrant de Londre je te poserais les autres questions.

- D'accord, je viendrais te chercher pour habiter ici.

-Qui a dit que j'acceptais de venir avec toi. J'ai une vie à Londre.

-A bon, ton patron qui te fait faire des sales boulot c'est une vie pour toi?

-Oui, peut être qu'il utilise un peu trop son pouvoir de patron mais c'est quelqu'un de juste et de honnête. J'ai sacrifier tout mon temps pour faire ce que j'aime. Et je ne suis pas déçus de ma vie. Je n'ai pas la richesse comme toi mais j'aime ma vie. Dit elle d'un ton élever

- pas la peine de hausser la voix. A partir de maintenant je suis ton fiancé.

- Fiancé pour de faux rectification. Après avoir pris ma revanche, ça sera bye bye. Tu feras en sorte de ne pas te trouver fiancé avec une femme que tu n'aime pas.  Pendant que moi je vais faire mordre les doigts à mon trou du cul d'ex. C'est notre compromis.

Je lève la main pour qu'il me la serre comme une marché de négociation.
Il le serre la main de la jeune femme avec un sourire narquois.

- Et dernière précision, je ne blague pas quand j'ai dit que je ne voulais pas être proche de toi. Et en ce qui concerne le temps. Je mettrais un terme moi même.

- Je crois que tu as oubliée à qui tu as affaire. Me dit -il d'un ton très calme.

Je me retourne pour êtres face aux clients. Mais aussi faire face a ma future faux belle-mère.

-Je suis tellement heureuse que vous fassiez partie de la famille. Enfin que mon fils me ramène une femme. J'étais à deux doigts de lui faire un fiançailles forcé. Dit elle avec un sourire forcé.

Elle est bizarre cette mère, comme si elle ne voulait pas que je sois sa belle fille. De toute manière je m'en fou je ne vais pas durée longtemps de toute manière.  Je fais ça pour lui foutre seum à mon ex petit copain de merdeux. Et dire que je lui ai fait des surprise à tout vas. Lui il me trompe pendant ce temps là, avec une connasse. Et je vais aussi réglé l'affaire avec le magasine. Je ne veux pas que ma tête soit affiché sur tout les magasines de l'Italie. J'ai autre chose à faire que d'être célèbre.

Je retourne à Londre, pour faire un rapport et si l'opportunité arrive je repartira en Italie pour casser nos fiançaille. D'ailleurs je dois voir anastasia pour lui avertir que tout cela est faux, mêmes si je sais qu'elle s'en fout que je sois marier ou en cloque mais juste l'avertir de mes fiançaille.

Mon futur mari s'approche de moi en glissant sa main autour de ma taille, et fait des caresses en va et viens proche du bas de mon ventre. Je lui frappe le ventre à l'aide de mon coude. Il n'a pas intérêt à me toucher celui là. Il faisait une tête bizarre après l'avoir taper. Je crois que je ne suis pas aller de main morte, mais je m'en fou, se n'est pas parce qu'on est  fiancé qu'il faut me toucher. Une main s'approche de mon menton pour tourner ma tête qui est maintenant face à mon futur mari, je ne comprend même pas ce qu'il se passe qu'il m'embrasse comme si sa vie en dépendait.

Nos langues s'entremêlent, il lâche un petit soupire, et met un main sur mon dos pour nous rapprocher. Moi à l'occurrence mes yeux reste ouverte quant à lui il a les fermés comme si il goût le meilleur vin d'Italie.

Je ne vois ni une ni deux que j'ai chaud, pas chaud de desire mais de colère. Je descend mes lèvres pour pour toucher le bas de ces lèvres pour lui mordre pout montrer mon mécontentement.

- J'aime bien quand tu me mords comme ça. Ça me fait penser à notre nuit dernier, me dit il avec un ton arrogant et taquineur  tout en touchant ces lèvres.

Il lâche un petit riscus au coin de sa bouche.

Je crois que je vais finir par le tuer avant que j'annonce notre rupture. Je regrette déjà notre compromis.

Je ne peux vraiment pas voir sa tête de con et arrogant.