1

84 11 4
                                    

     Bon c'est l'heure, je dois retourner chez moi. Ayden, mon frère va me déposer avant de rentrer chez lui.

- Tu reviens quand tu veux benti, c'est comme chez toi tu le sais, dit ma tante en me regardant avec compassion, elle savait ce qui m'attendais une fois chez moi..

- Tata iyana pati?(tata ilyana va partir)

- Oui mon cœur mais je reviens vite ne t'en fais pas, répondis-je en le prenant dans mes bras, il va me manquer

- Ouii

- T'es sah(sérieuse) tu nous lache? comment je vais faire avec l'autre folle, lance Aymen en parlant de Sayna, elle me casser plus les.., il regarde sa mère, pied quand t'étais là

- « l'autre folle » elle te dit d'aller te...manger du caca pff

- Pff encore et je te pff le crâne, lache-il d'un ton aussi sec que froid

- T'es même pas drôle

- Hayati?

- Oui mon bébé?

- Je taimeeee, lui dit-je en lui sautant dessus

- Moi aussi omri

- Allez faire les pedette loin de nous s'il vous plaît, nous lance nos frères

- On parle pas au haters

Ayden reçois une notification

- Ilyana on y va

- Mh ok

     On dit au revoir et on pars. Une fois arrivée en bas de chez moi Ayden insister pour m'accompagner mais je lui dit que ce n'est pas la peine et que c'était mieux qu'il rentre rejoindre sa femme.

     Dès que je rentre chez moi ma mère est très calme et contente ce qui est très rare. Mon père lui n'est pas présent, sûrement en GAV le pauvre.

     Je range mon sac met mes affaires sale a la machine à laver puis je vais me préparer des lasagnes. Une fois cuit je vais me servir.
    Quand je fini de manger je vais débarrasse et vais dans ma chambre regarder ma tablette attendant l'arrivée de mon père pour pouvoir lui raconter ce que j'ai fait quand j'étais chez ma tante.

     Je commençais a fatiguée donc je regarda l'heure, il était 23h. Normalement il devrait être sorti donc je décide d'aller voir ma mère. C'est la que ma manière de la voir commença a changer..

- Mama, il est ou baba

- Ilyana, ton père ne reviendra plus a la maison

- C'est pas le moment de faire des blagues la

     La elle me gifle, alalaa elles m'avaient pas manquer ses mains.

- Parle moi sur un autre ton, je ne te fais aucune blague. Ton père mettra plus les pied ici.

- Je comprend pas qu'es ce qu'il c'est passé quand j'étais chez Khalti Warda

Heyna(mère d'Ilyana)
8 jour plus tôt

-JE RÉPÈTE FILS DE PUTE, OUI TOI NAHYL T'ES UN FILS DE PUTE, criais-je au père de mes enfants

-D'accord Heyna, répondait-il en enlevant l'ampoule du salon, maintenant s'il te plaît laisse moi dormir moi demain je dois me lever a 5h du matin pour aller travailler

- Clochard va tu dors sur un canapé

- À qui la faute Einstein?

- Tu croyais pas que j'allais te laisser dormir avec moi

- Honnêtement? si, le lis je les payé comme presque tous ce qui ce trouve dans cette chambre

- T'inquiètes bientôt t'aura l'honneur de dormir dans un lit, mais omri crois moi que ce serait pas dans cette maison

- Tu as de la chance que Ilyana sois encore petite je t'aurais répudié depuis longtemps crois moi

- Tu veux me répudié c'est sa? laisse moi te faciliter la tâche, disais-je en me giflant

- Va voir un imam

- Et toi va voir ta pute

     Après ça j'allai dans la cuisine pour continuer a boire et ecouter de la musique, le volume a fond pour embêter mon merveilleux mari.
J'en avais marre de lui et de sa fille, si elle serait pas la elle et sa mère j'aurais la vie que je mérite. Il fallait que je l'éloigne de nous temporairement puis je placerais l'autre en foyer.

     Et c'est pour sa que je mettais giflé, mais je pense pas que ce soit suffisant. On va quand même essayer, qui ne tente rien n'a rien.

- Oui bonjour commissariat de *******

- Bonjour, répondais-je la voix tremblante, je vous appelle parce que mon mari ma giflé et ce n'est pas la première fois -faux il na jamais levé la main sur moi-

- Ok madame, vous pouvez me dire ce qu'il vous a fait ainsi que votre adresse?

- Bien-sûr, il ma giflé et on habite 213 rue tahia djazair(elle a pas dit sa hun) au 6ème

- Ok d'ici 10 min des collègues vont arriver essayer de vous isolé un maximum

- D'accord, merci beaucoup

- Je vous en prie

     Bon j'ai 10 min pour ranger ma bouteille de rhum et paraître sobre.

15 min plus tard

- OUVRÉ C'EST LA POLICE
Il peuvent pas parlé moins fort il y a beaucoup de commère ici

- Bonjour, disais-je en ouvrant la porte a trois commissaires, il est là, en pointant le salon du doigt

- Monsieur réveiller vous, on va vous parlez

- Oui? pourquoi vous venez chez moi a 23h?

- Pourquoi vous avez frappé madame? lança un des commissaire sans même prendre le temps de répondre a sa question

- J'ai jamais levé la main sur ma femme, donc s'il vous plaît sortez de chez moi

- Elle c'est faites sa toute seule? disais le commissaire de droite en montrant la marque rouge que j'avais fait en me giflant

- C'est drôle que vous disiez ça vu que c'est exactement ce qu'il c'est passé

- Bon on a assez parlé, on vous emmène au poste

     YOUYOUYOUYOUYOU

- C'est bien Heyna, oublie pas que ta besoin de moi pour vivre
Il avait raison, je ne travaille pas. Et je suis très dépensière, ça n'allait pas du tout ensemble. C'est pas grave demain il sera de retour, comme d'habitude.

5 jour plus tard

- Tu commences déja a me prendre la tête

- Laisse moi sale fils de pute, de toutes façons t'es même pas le père a Ilyana
J'ai a peine fini ma phrase qu'il se jetait sur moi, il..il était entrain de m'étrangler.

- Qu'es ce...tu fais?

- TA GUEULE

J'avais peur, oui j'avais peur de mon mari, il a jamais été comme ça avec moi.

- Na..hyl

    D'un coup il me lâcha.

- Astargfirullah, smeh je sais pas qu'es ce qui ma-, Heyna ça va?

- Tu..tu m'a levé la main dessus..tu voulais me tué je l'ai vu dans tes yeux..

- Nan c'était pas moi, smeh w'Allah je regrette, putin jamilati regarde moi, disait-il en avançant vers moi pour me prendre dans ces bras

- Ne me touche pas nahyl

Chronique d'Iyana: ensemble hier aujourd'hui et demain malgré toutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant