Toi & Moi ( Maxime Biaggi x Djilsi )

II

PDV Maxime 

Sidjil lève la main puis après quelque seconde le prof lui répond.

Prof : Oui Sidjil ?

Sidjil : J'me sent vraiment pas bien, es ce que j'pourrais aller a l'infirmerie ?

Prof : Oui bien sur, avec qui voudrais tu y aller ?

Tout le monde lève la main, moi également.

Sidjil : Euh Maxime.

Prof : Très bien, allez y.

Sidjil : Merci.

On sort en marchent pour pas que les prof nous avertissent.

Moi : Bon on fait quoi maintenant, parce que j'te rappelle que t'a rien.

Sidjil : On sort ?

Moi : T'es malade ? Tu veux qu'on sèche ?

Sidjil : Ouais. Ça va être cool, viens.

Moi : Mais pourquoi tu fais ça avec moi ? 

Sidjil : C'est quand que t'arrête de parler ?

Moi : Pff...

Je le suis a contre cœur a l'extérieur. 

Moi : Tu veux faire quoi?

Sidjil : On peu aller chez moi.

Moi : Mais on est pas pote, qu'est ce que t'a pas compris ?

Sidjil : Bah j'essaye d'être gentil avec toi Maxime.

Moi : J'ai jamais eu besoin de quelqu'un de gentil avec moi.

Sidjil : T'a besoin de quoi alors ?

Moi : Je sais pas Sidjil, je sais pas.

Je m'assoie a coter d'un mur puis m'adosse a celui-ci. Il me rejoint rapidement. Je commence a pleurer, sous la fatigue surement. Sidjil ne parle pas mais il passe son bras derrière ma tête et me force a mettre ma tête sur son épaule. 

Sidjil : Ça va aller Maxime, j'suis l'à.

Moi : J'suis désoler.

Sidjil : Désoler de quoi ?

Moi : D'être comme ça.

Sidjil : T'a pas a t'excuser d'être triste.

Moi : J'aime pas pleurer devant les autres.

Sidjil : T'a très bien le droit.

Je continue de pleurer pendant a peu près deux minutes puis je me calme.

Moi : On peu aller marcher ?

Sidjil : Ouais s'tu veux.

Je me lève avec difficulté puis commence a marcher avec lui qui me suis.

Sidjil : Hey Maxime, t'a peur de quoi ?

Moi : De ?

Sidjil : Bah quand on avais parler ce midi.

Moi : Ah, et bah en fait, j'ai peur de me refaire harcelé.

Sidjil : Tu te faisais harcelé ?

Moi : Ouais, l'année passer. 

Sidjil : Tu sais pourquoi ils t'harcelaient ?

Moi : Nan, j'ai jamais su pourquoi.

Sidjil : Ils te disaient quoi ?

Moi : Y'en a beaucoup quand même. Ils m'insultaient de lâche et de petit corps. Ils me poussaient contre les murs. J'ai fini par m'ouvrir le front. C'est pour ça que j'ai une cicatrice.