Journée Ordinaire

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Le lycée Saint Patrick, érigé comme un bastion éducatif moderne au cœur de la petite ville, se dressait fièrement avec ses façades en verre reflétant le ciel matinal

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Le lycée Saint Patrick, érigé comme un bastion éducatif moderne au cœur de la petite ville, se dressait fièrement avec ses façades en verre reflétant le ciel matinal. À l'intérieur, dans la salle de classe A, Atsushi Nara, l'athlète passionné, suivait le cours d'éducation physique. Les baies vitrées offraient une vue imprenable sur la cour verdoyante, apportant une touche contemporaine à l'atmosphère éducative.

Les écrans interactifs, disposés stratégiquement le long des murs, diffusaient des vidéos inspirantes sur des exploits sportifs mondiaux. M. Johnson, le professeur dynamique, utilisait des tableaux numériques pour illustrer ses points. Les élèves, munis de tablettes, interagissaient avec le contenu, ajoutant une dimension technologique à leur apprentissage.

Atsushi, tout en écoutant distraitement le discours enflammé de son professeur, jonglait entre sa tablette et un ballon d'exercice. Les sonneries électroniques, égayant l'espace, remplaçaient les cloches traditionnelles, rythmant la journée scolaire avec une touche futuriste.

Soudain, une perturbation électrique secoua la salle. Les lumières LED, suspendues au plafond design, vacillèrent, créant une ambiance étrange. La brume mystérieuse s'infiltra dans la classe, projetant des reflets éthérés sur les surfaces lisses.

 La brume mystérieuse s'infiltra dans la classe, projetant des reflets éthérés sur les surfaces lisses

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- Atsushi (chuchotant à son ami Kenji) : "Ça ne ressemble pas à une simple panne électrique, hein ?"

- Kenji (ajustant ses lunettes intelligentes) : "Il se passe quelque chose d'étrange, c'est sûr."

Pendant ce temps, dans la salle B, Nissan Harota, descendante de samouraïs, participait au cours d'histoire dirigé par Mme. Thompson. Les murs minimalistes étaient agrémentés de projections holographiques représentant des batailles épiques et des paysages japonais traditionnels. Les bancs intelligents ajustaient automatiquement leur hauteur pour un confort optimal.

Mme. Thompson, passionnée par son sujet, utilisait des interfaces holographiques pour raconter les exploits des guerriers légendaires. Cependant, la longueur des histoires semblait peser sur l'attention de Nissan.

- Nissan (s'adressant à Hiroshi, son ami assis à côté d'elle) : Ces cours peuvent être interminables, même avec toute cette technologie.

Puis, repensant à son statut, elle se souvient qu'elle endure bien pire que cela : cours de calligraphie, maîtrise des instruments de musiques nippones, le style vestimentaire. L'art du maniement du sabre avec des méthodes bien rustiques et vieilles de plusieurs centaines d'années est de loin la plus dure...

The casualty of God's Où les histoires vivent. Découvrez maintenant