Chapitre 13

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Nos deux protagonistes était rester plusieurs semaines au chalet. Ils étaient à la recherche d'un plan laborieux mais difficile à visualiser.
Heisenberg commençai à avoir un craquage mental, tant dis que Ethan ne supportait plus ce qu'il était devenu et voulait en finir.

-Ethan

Mes traces, mes bras , ma tête, mon corps. Il n'a rien de normal chez moi, plus maintenant. J'essaye de me dire que c'est bientôt fini mais Donna à raison. Aucun humain normal ne m'acceptera. Une partie de ma cervelle me dit que je devrais positivé. Je ne suis pas seul après tous mais même là seul compagnie que j'ai. Est littéralement un psychopathe, qui est entrain de craquer, il commence à me faire des frissons à force de parler dans le vide.

Ce qui m'énerve le plus, c'est quand il passe ça nuit à taper sur ses machines.  Qu'est ce qu'il le frustre à ce point ? De n'être pas encore devenue le maître de ce village car après tout qu'est-ce qui pourrait satisfaire un monstre comme lui ? Le pouvoir tout simplement.
Il m'utiliser à ces fins, comme il utilise tous le monde . Un manipulateur, peut être qu'il me tuera à la fin. 

Je penses beaucoup trop, j'ai besoin de me distraire. Je me levais de mon lit, je me tournais vers l'armoire la plus mal rangé de la terre. Je portais un sous pull vert avec des harnais, des gants noir et une ceinture décoré d'un étuis. Plus un pantalon noir peuplé de poche ( peuplé jsp). J'attrapais ma veste et mes chaussures et quitta la chambre.

Je passais dans les couloirs jusqu'au salon, aucune trace de Karl. J'ouvrais la porte et sortie.
Je sais que c'est déconseillé mais j'avais besoin de jouer au pistolet.
Comme d'habitude un vent frais, de la neige, des ruines et de la tristesse.
Je vais rendre visite à Donna.

Demeure de Donna :

Donna : Tu dis ne pas te préoccuper de Karl et pourtant depuis t-on arrivé, il est le centre de tes songes.

La poupée: un vieux petit couple hahaha

Je préférais ne pas réagir à ce qu'elle venait de dire.

Ethan : Alors c'est quoi son problème ?

Donna: il perd espoir Ethan. La première fois qu'il t'a vue, il c'est dit que tu étais spécial. Et je pense qu'il a besoin d'être rassuré par cette personne spéciale

Ethan: n'importe quoi c'est qu'un manipulateur rempli d'ego.

Donna : Certes mais quand il ta vue ça a rallumer ça flamme son envie de partir, de vivre. De ne pas ce laisser faire comme toi. Son objectif n'est pas d'être un maître mais plus tôt, d'être avec toi et de partie.
Et je pense que si en ce moment il est frustré, c'est qu'il n'arrive pas à trouvé une solution ou un plan tous seul.

Ethan: ...

Donna: rappelle toi de ce que j'ai dis la dernière fois.
Je penses que lui aussi, ça le travaille alors parler en a deux.

La poupée : Maintenant sors d'ici !! Haha

Je me levais, et alla jusqu'à la porte .
Au retours du chalets
Il n'y avait pas un chat mais en réalité, je me voilais la face, je savais très bien où il était.
Je montais au grenier, déclencha la porte et je le trouvais au sol entrain de fabriquer des choses qui n'avait aucun sens.
Je m'approchais de la manière la plus discrète.

-Heisenberg : Ethan..
Ah cramé
-Heisenberg : est-ce que je me suis trompé ? J'aurais peut être du me laisser mourrir. Ou le rester. Après tous tu na pas besoin de moi et le monde extérieur non plus. Tu t'en sors toujours, tu es juste, fort, intelligent. Tu me déteste et c'est compréhensible, je n'ai rien de juste. Haha dans une autre vie peut être si Miranda ne m'avais pas forcé à devenir ainsi, peut-être que toi et moi on aurait été amis ou plus. Enfin je divague ça ne sers à rien de fantasmé sur des choses un probable. Je pense, enfin... hahah

Tue moi Ethan.

Ca me tue de l'admettre mais peut être dans une autre vie, toi et moi on aurait été amis ou plus..
Vue à notre lien,je pouvais sentir la première fois dans mon cœur le vrai lui. Ce qui étais bizarre, je n'aime pas le voir ainsi. Il veut en finir. Si c'est ainsi.

Je sortis mon gun, je m'accroupissais et lui pointa entre les deux yeux. Face à face, je pouvais voir ces yeux qui était devenue noir, tellement il était entrain de sombrer.
Il se mordait les lèvres le temps que j'active mon arme.

Ethan: C'est vrai que t'es un sacré connard, que j'ai mille fois envie de te buter. Et que tes vraiment une dickhead. Ton ego et ton rire me donne envie de te frapper tous le temps et ton côté pervers n'en parlons pas. Je sais aussi que une fois fini, on sera tous les deux perdus face au monde normale. Qu'on aura plus jamais une vie normale. Mais c'est ainsi.
Écoute je ne te déteste pas vraiment et puis si vraiment on réussi. Et que toi et moi on ce retrouve exclu du monde normale. Fait ce que tu as dis et raccroche toi à l'idée : kidnappe moi et ma fille et on partira loin des problèmes.
Tous simplement. Cependant maintenant y'a intérêt à ce faire confiance et on ce dit tous merde. Et puis ça ne te ressemble pas cet air de chien battue.

J'enlève mon revolver, le range dans mon étuis et je m'apprêtais à me relever. Quand soudain deux bras me fis descendre sur les cuisses de ce fou furieux . Et une tête ce loga sur mon épaule.

Heisenberg : donc si on gagne, je reste avec toi hehe. Marcher conclue Ethan. Plus le temps de déprimer toi et moi il va falloir qu'on travaille sur le plan.

Ethan: t'es vite revenue dis donc. Lache moi.
Je lui donna un coup dans les côtes, il me lâcha et rigola .

Heisenberg: promis je te kidnapperais !

Ethan : on verra bien
Je partis jusqu'au bureau principale pour travailler.

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Hey, j'ai regardé encore une fois résident evil pour me mettre dans le bains. Et donc voilà nouveau chapitre, j'espère que ca vous a plu. Et désolé pour les fautes je corrigerais une fois l'histoire fini. Zoubi zoubi muah bye !

Karl heisenberg x Ethan Winters Où les histoires vivent. Découvrez maintenant