1. -le debut de la fin

277 10 3
                                    

🚨🚨🚨🚨🚨🚨⚠️⚠️⚠️⚠️⚠️‼️‼️‼️‼️‼️‼️
Si vous êtes sensible au :
-sang
-abus de pouvoir
-corruption
faites attention !!
Je ne veut pas vous effrayer, certains sont sensibles lorsque l'ont parle du futur. Ici c'est un univers alternatif sur l'apocalypse ! Alors faites attention.

Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que vous lisez.
Pour ceux qui ont pas lue la description je vous la remet..
Bonne lecture ;)



Et puis, une apocalypse a éclaté sur la terre. Personne ne sait comment c'est arrivé, ni pourquoi Ou encore à cause de qui.

Depuis, Trois groupes ont été former.
Les panthères, les rôdeurs et les prints.
Les panthères appelés sky.
Les rôdeurs sont nommés vik.

Nous utilisons ces noms seulement cher nous, pour pouvoir parler en toute discrétions d'eux part message radios.

Aujourd'hui, je suis de sortie. Je dois explorer les environs, je suis cacher dans les arbres pour l'instant.
D'ailleurs je ne me suis pas présenter ! Je suis Maxime, ou alors connue sous mon pseudonyme biaggi je suis commandant remplaçant ou coureurs.
Si le commandant sors de sa zone, de notre base, c'est moi qui le remplace. Ou alors je fais diversion.

Je faisais le gai pendant que Mathis ou sous son pseudonyme Grim, remplissait son sac de vêtements et nourriture.

A notre camp, diriger part monsieur Squeezie ou Lucas pour les intimes. Il y'a une cinquantaine d'adultes et une vingtaine d'enfants, nous devons les nourrir chaque jour ou au moins tout les deux jours.

Je descendis de mon arbre et regarda Grim, il était lent. Beaucoup trop lent. Et pourtant c'était un de nos meilleurs coureurs.
Un bruit attira ma curiosité, je me retourna et braqua mon arma en direction d'un arbre.

« j'tai entendu. »
Une petite fille sortit de derrière l'arbre, je baisse immédiatement mon arme et m'abaisse légèrement. C'est toujours comme sa quand je vois un enfant, impossible de lui tirer d'ssus.

« Approche, je vais rien te faire »
Elle s'approcha, après sa tout sa passa très vite.

Elle me tira vers elle, dégaina un couteau et le planta en moi trois fois. En dessous de mes côtes, dans mon épaule et dans ma jambe. Elle laissa le couteau planter dans ma cuisse et se recula.

Deux rôdeurs sortirent d'un camion brûlée et attrapa Grim et moi, je frappa le rôdeurs qui tenais Mathis et lui fis signe de partir. Il partit en courant, un coup de crosse (je parle de l'arrière du fusil) accompagné d'un coup dans mes côtes me fit fermer les yeux.

Lorsque j'ouvris les yeux, j'étais dans une cellule. J'avais des chaînes beaucoup trop serrées aux mains et au pieds, il y avait un miroir en face de mon lit et une très petite fenêtre casser.

J'avais encore mes blessures, elles n'avaient pas été soignées. Je m'assis et me levis, je retomba très vite et me mordit les lèvres de douleurs. Ces connards m'avaient bien achever ! Je déteste les rôdeurs, ils sont si violents..

Un garde arriva et me regarda..
« Tu veut ma photo ? »
Il ne dit rien et continua de me regarder, sa allait être très long avant que je meurt..

Je me rallongea comme je pus et fixa le plafond..

« Il est quelle heure ? »
Aucune réponse, il est vraiment bavard dit-donc..!
« Je peut au moins avoir la date !? »
Rien, ils voulaient me rendre fou.

Je me m'y dos à lui et essaya de m'endormir, je vais crever ici ou avec un peu de chance ils vont me mettre dehors et me laisser bouffer part les infectés.

J'entends la porte de ma cellule s'ouvrir et le garde me lancer au sol, il me met deux coups dans le ventre et m'attrape part le col.
« Tu ne dors pas tant que tu n'as pas d'autorisation ! »
Sous la douleurs, je me suis évanouie.

Mes yeux s'ouvrirent, je n'étais plus dans la cellule. J'étais dans une belle chambre, mes blessures était soignée..
Je m'assois et m'adosse contre le mur en détaillant la chambre.

La chambre, jadis empreinte de splendeur, gisait maintenant dans un état de décrépitude. Les rideaux, autrefois somptueux, s'affaissaient tristement, épuisés par les années d'oubli. Les murs, jadis ornés de fresques vibrantes, se lézardaient, révélant les cicatrices du temps qui s'écoulait sans pitié.

Un lit à baldaquin, dont la magnificence avait été érodée par les outrages du temps, était recouvert d'un drap fané. Les meubles en bois sombre, autrefois opulents, arboraient désormais des éclats émoussés et des surfaces ternies. Les ombres dansaient sur les tapis usés, dévoilant une trame qui avait autrefois éclaté de couleurs, mais qui se fondait maintenant dans des teintes délavées.

Le parquet craquait sous le poids des années, et la cheminée, qui avait autrefois réchauffé des conversations nobles, était à présent une alcôve sombre, sa flamme était encore allumée. Des toiles d'araignée délicates étiraient leurs fils entre les recoins oubliés, créant un réseau délicat qui tissait le silence.

L'air était imprégné d'une odeur humide, de vieux livres et de bois vieilli. Malgré sa décrépitude, la chambre portait une beauté mélancolique, une élégance résiduelle qui témoignait de son passé glorieux. Elle semblait attendre, silencieuse, que quelqu'un vienne lui redonner vie et raviver les souvenirs qui se dissipaient lentement dans l'ombre du délabrement.

C'était légèrement décrépit mais c'était chaleureux, le feu était allumer et amenais une ambiance agréable dans la chambre.

La porte à coter de moi s'ouvrît, je regarda dans sa direction et vis un homme.

Guerre de rang Djilsi x Maxime b.(apocalypse UA) [TERMINER]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant