6. les cris d'un garçon triste

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AUTO-DISCRIMINATION
AUTO-MUTILATION
Si vous êtes sensible à sa, un petit signe vous avertira la fin et le début de ses scènes.
Début : /!\
Fin : /-\

Italique : Sidjil
Normal : Maxime

Vous allez comprendre ;)

Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que vous lisez.

Bonne lecture

deux heures, deux putain de heure qu'on m'a pris Sidjil des bras. Je ne sais pas encore combien de temps ça va durée, si il est encore en vie, si il se souviendra de moi..

Je le déteste..pourquoi il a fait sa ?! il aurait pue me laisser mourir, nan il a préférer risquer sa vie pour moi..
relativise max ! C'est Sidjil, il est fort..

Un medecin entra dans la salle d'attente fait en dernière minutes mais j'avais peur, il avait une tête dépité.
-tu peut aller le voir mais il se repose, aller va le voir..

je me précipita dans la chambre qui lui a été attribuer et attrape inconsciement sa main.
Il n'y avait plus que lui et moi, personne d'autre..

-putain sidjil ! Tu crois vraiment que c'est le moment de jouer les héros ?!
c'est certainement pas le bon moment !!
-j'ai besoins de toi, si tu meurt..je..bordel........je te deteste et à la fois j'arrive pas à te détester ! Si je te perds maintenant je..je serais perdu..j'ai déja perdu Élian si je dois te perdre toi aussi je vais pas suporter ! MAIS BORDEL QUE CE QUI T'A PRIS ?!

je ferme les yeux et dépose ma tête sur le matelas, si je le perd maintenant, je serais perdu..

Je me suis rendue compte que j'étais plus proche de lui que ce que je ne pensais, j'ai besoins de lui..

Si il meurt, je meurt. Je ne peut pas vivre sans lui et Élian..
-sa a déjà été dur lors de la mort de Elian, si je dois supporter la tienne je vais craquer..reste avec moi Sidjil pitier..
Bordel..
Je me dirige vers la porte et regarde Sidjil,
-j'espère que tu vas aller mieux Sid
Je me rapproche très vite de lui, lui fait un bisous sur le front et m'en vais définitivement.

-je reviendrai demain
-très bien

Je retourne dans ma cabane, sa fait tellement longtemps que je ne l'ai pas vue..

J'entre et m'assis sur mon lit, je soupir et me regarde dans le miroir.

-je suis dégoûtant..

/!\
La lueur faible du couchée de soleil filtrée à travers les rideaux entrouverts, éclairant à peine la pièce où je me tenais seul. Sur l'étagère, une lame étincelait comme une tentation silencieuse. Je leva lentement la main, mes doigts serrant la poignée froide, alors que mes pensées tumultueuses résonnaient dans le silence. La lame dansait avec hésitation sur la peau délicate de mon épaule, gravant des stries douloureuses dans ma chair, chaque coup portant le poids d'un chagrin trop lourd à porter. Chaque scarification racontait une histoire, une symphonie de souffrance inscrite dans le langage silencieux de la douleur. Le rouge perlait doucement, mêlant l'ombre et la lumière dans un ballet intime de détresse. Un murmure de libération s'échappait de mes lèvres, alors que les marques sur mon épaule étaient comme des pages d'un chapitre secret, écrit dans le langage crypté de mon désespoir.
/-\

Je lance le couteau au sol et me regarde à nouveau dans le miroir.

-j..j'ai recommencé..?

Ma gorge devenus sèche, me faisant tousser de l'air. Ma poitrine me faisait mal, tellement mal que des larmes dévala mes joues. Tout retomba en même temps, Sidjil, mes douleurs interne comme externe, la peur, le doute, le manque d'Élian, tout. Moi aussi, je tomba. Ma tête avait battu le record mondiale du plus de tour sur elle même.

Guerre de rang Djilsi x Maxime b.(apocalypse UA) [TERMINER]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant