5. À l'agonie

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Depuis cette nuit, Maxime et moi étions devenus plus proche. Il restait sur ses gardes mais moins qu'avant..

Je suis surtout déçu, déçu de moi même..j'ai tout fait pour retrouver Maxime. Et le jour où je le retrouve, le but du général commandant est de l'achever..je fais tout pour le protéger. Je ne veut pas le perdre, jamais !

Je l'aime, je l'aime énormément ! J'ai l'impression de le redécouvrir à chaque fois que je le vois, son visage, son caractère, ses caprices, sa gratitude, son expertise envers ses proches. Et je ne veut plus perdre quelqu'un que j'aime, sa serait trop dur..

Arrêtons d'être pessimiste, pensons au bon coter des chose ! Je me dirige vers la chambre de mon ami nain, c'est drôle qu'il soit si petit mais si autoritaire.
En réalité, maxime est quelqu'un de très respecté mais il respecte tout autant son entourage. « Respecte pour l'être » c'est ce que Maxime répète sans cesse quand il voit quelqu'un de mal polie..

J'ouvre la porte du nain et vois personne, ou est t'il ? Sa chambre n'est pas si grande et pourtant il est introuvable !
Je me précipite dehors, il est sortit prendre l'air ? Ou voir les enfants ? Ou encore se promener ? Il c'est enfuie ?
J'espère qu'il est juste parti d'ici ! J'espère que le général ne l'a pas trouvé sinon il est dans un bourbier énorme.

Je vais dans la cours des enfants et voit deux gardes le tenir, un couteau planter dans sa cuisse et un autre gardes avec un fusil pointer sur sa tête. J'ai l'impression que tout recommence, que si je n'agis pas il meurt..mais si je n'agis pas IL MEURT !

Je cours vers les gardes et relève son pistolet en direction du ciel, le tir part mais vers le ciel.
Un autre tir se fit entendre, je paniqua au début. J'avais peur que cela sois Maxime qui ce l'ai prit mais je sentis bien vite que c'était moi.

Ce que sa faisait mal ! On m'avait tiré dans le foie, j'avais mal, très mal. Mais je devais protéger Maxime.

Trois autres tirs se fit entendre et un cris s'en suivis, Maxime couru vers moi. Il n'était pas mort, c'était le principal..Je ferma les yeux quelque seconde, j'en avais besoins. Je me sentis transporté et tiré..

-Sidjil, reste avec moi ! J'ai besoins de toi ! On arrive bientôt, mais pitier reste avec moi !

J'unis mes dernières force et déplace ma main jadis sur ma blessure, sur la joue de Maxime.
-Maxime, arrête de pleurer..je vais rejoindre Elian..je pourrais te voir de la haut aussi..
-dit pas sa Sid ! Tu vas t'en sortir !

La douleur est une étreinte brutale, une déchirure qui s'insinue dans chaque fibre de mon être. Autour de moi, le monde devient flou, comme si une toile d'obscurité s'étendait sur mes yeux. Le goût de fer imprègne mes lèvres, et chaque inspiration est un combat contre l'agonie qui se propage à travers mon corps.

Je souris, il m'avait appeler part se surnom qu'il me donnais autre fois..
-j'aime bien se surnom..comme toi, je t'aime aussi..

La douleur empirait, j'étais de plus en plus fatigué et j'avais froid. Je me vidais de mes forces mais à la fois j'en prenais.

-bordel..je t'aime aussi Sidjil ! Mais reste avec moi, garde les yeux ouvert j'ai besoins de toi pour vivre ! Si t'es pas là, je suis perdu ! J'ten supplie..
-je savais qu'au fond t'étais un romantique..

Je rigola mais je regretta instantanément en crachant du sang.

Le fracas du tir résonne encore dans l'air, mais il est désormais un écho lointain. Mon regard vacille entre la réalité et une obscurité grandissante. Des images fugaces de ma vie défilent, des moments éclatants de bonheur aux ombres des regrets. La vie semble se résumer en une fraction de seconde, comme si le temps lui-même se précipitait pour me voler un adieu douloureux.

Mes forces me trahissent. Autour de moi, le monde persiste, indifférent à mon déclin.

L'agonie est une douleur intense, personne ne peut s'en défaire une fois commencer. Il n'y a qu'une seule porte de sortie, la mort. Tout le monde le sais et la fuit, il y'a certaines personne qui veulent la rencontrer et d'autre qui n'ont juste pas peur.

Mais dans ces moments là, je savais qu'une personne avait plus peur que les autres. Et c'était Maxime, il était terrifier à l'idée de me perdre. Il le dit lui même à chaque fois,

Maxime n'était devenue qu'une ombre flou parmi tant d'autre, sa voix n'étais qu'un song crédule.
Si je ferme les yeux, c'était pour de bon..



Fin
Je rigole

Mais cest ps aujourd'hui que vous aurez la suite :)
A demain 😈

Guerre de rang Djilsi x Maxime b.(apocalypse UA) [TERMINER]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant