"𝑾𝒆𝒂𝒕𝒉𝒆𝒓" Takashi Mitsuya x Oc

Chapitre 7 ✩

Bonne lecture !

Et bonne année bonne santé !!! J'avais commencé avant l'année d'écrire le livre mais je continue à l'écrire et on est le 8 janvier du coup voilà. Désolé bonne année en retard les loulous! (À l'heure où j'écris encore on est le 29 janvier aled)

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Je soupirai dans mon lit, fatiguée de cette journée alors qu'il était huit heures du matin. La fatigue s'empara de moi une nouvelle fois. Je m'endormis sur mon lit.

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Midi, il était midi.
Je me fis réveillé par le bruit sourd de ma mère qui frappait violemment à ma porte.

— Putain Ayama ! Ouvre cette putain de porte ou j'te la défonce ! Je me lève et saisis la clé avant d'ouvrir la porte et tomber nez à nez avec ma mère. Elle reprit la parole. Woah, c'est pas trop tôt ! Sérieux ça fait cinq minutes que je toque. Donne moi ces foutus clefs.

— Jamais, tu peux rêver ma pauvre.

— Tu parles très mal de ta bouche Ayama. Je te conseille de moins faire la maligne.

— Ok si tu veux. Tu veux quoi maintenant ?

— Je suis venue pour te demander pourquoi tu n'étais pas rentré hier soir.

— Je me suis endormie chez un ami.

— Ah ouais ? Et c'est qui cet « ami » ? On le connaît ?

— Tu poses... trop de questions je trouve.

— Je suis ta mère ! C'est normal ! Je m'inquiète enfin !

— Argh, maintenant tu joues le rôle de la mère ? Sérieux c'est quand que tu t'es soucié de moi depuis la mort de-...

— Jeune fille ! Ne parle pas... des morts.

— Tu fais chier. Je claque la porte et vins dans mon lit. Ma mère rouvre la porte.

— Alors ça Ayama ! Ne crois pas que ça va passer ! Tu es privée de sortie pendant 1 semaine !

— Oh c'est génial ! C'est pas comme si j'avais déjà pas de vie sociale mais que tu voulais en rajouter, t'es tellement attentionnée comme mère !

— Je fais ça pour ton bien Ayama, tu regretteras de m'avoir parler sur ce ton plus tard !

— Je regretterai rien du tout !

— Eh bien, ne sois pas choquée quand je serai entre la vie et la mort Ayama ! Ma mère claqua la porte à son tour.

Sous ces mots, je fondis en larmes. J'avais beau détesté mes parents mais
les imaginer morts me pétrifiait.
Je ne pouvais pas m'imaginer sans mes parents, déjà que sans mon frère c'était assez compliqué.

Peu après, je m'étais calmé. Mon esprit avait enfin rejoint la sérénité.

Au même moment, Aki m'envoie un message.