Chapitre II

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                            Le Départ


   Quand je le vis sortir et se diriger vers moi, mon cœur s’arrêta de battre, et tout mon être entier demandait à le serrer fortement, l’embrasser, lui dire qu’il est l’homme idéale, que je suis à jamais à lui mais je me retiens et lui fit une accolade. Puis, main dans la main nous sortons. Lors  de nos conversation sur Skype  je n’avais pas remarqué qu’il était ainsi grand. Un mètre quatre-vingt-six pendant je fais un mètre soiscante-huit. Il était relaxe et moi timidite comme d'habitude, en fait il m’impressionnait. Je l’accompagne à l’hôtel Tiama et d’un commun accord nous décidions de dîner sur place.

   Il ne faisait que me complimenter, trouvant mon regard envoûtant et mon sourire captivant. Je lui ai dit que je me trouvais  grosse et il m’a  répondu  que j’ai un corps tailler pour faire perdre la tête aux hommes. Je lui ai aussi dit que je préfèrerais mieux le connaître avant une quelconque relation avec lui et il m’a répondu tout en me regardant droit dans les yeux qu’il n’avait pas l’intention de me demander plus que ma compagnie.

  Quand je le vis sortir et se diriger vers moi, mon cœur s’arrêta de battre, et tout mon être entier demandait à le serrer fortement, l’embrasser, lui dire qu’il est l’homme idéale, que je suis à jamais à lui mais je me retiens et lui fit une accolade. Puis, main dans la main nous sortons. Lors  de nos conversation sur Skype  je n’avais pas remarqué qu’il était ausi grand. Un mètre quatre-vingt-six pendant je fais un mètre soiscante-huit. Il était relaxe et moi timidite comme d'habitude, en fait il m’impressionnait. Je l’accompagne à l’hôtel Tiama et d’un commun accord nous décidions de dîner sur place. Il ne faisait que me complimenter, trouvant mon regard envoûtant et mon sourire captivant. Je lui ai dit que je me trouvais  grosse et il m’a  répondu  que j’ai un corps tailler pour faire perdre la tête aux hommes. Je lui ai aussi fait comprendre que je préfèrerais mieux le connaître avant une quelconque relation avec lui et il m’a répondu tout en me regardant droit dans les yeux qu’il n’avait pas l’intention de me demander plus que ma compagnie. Ce fut une belle soirée un des plus beaux  moments que j’eu a partager avec lui durant son séjour. Il étais classe dans son jeans blanc imaculer et son teeshirt gris. Nous restons là à discuter autour d’une coupe de vin chacun et aux environs de minuit,  je prie congés de lui tout en sachant que toute la nuit, j’allais passer  mon temps à raconter à Caroline comment c’était déroulée notre premier contact physique.

   Durant tout son séjour, quand je descendais du boulot à dix-huit heures,  je passais le chercher   à son hôtel et nous allions  visiter la capitale jusqu’à être épuisé et nous nous  séparons. Je rentrais chez moi et lui à son hotel. Jamais il n’a exécuté envers moi  des gestes déplacés. Il resta correcte, courtois, doux, tendre cause pour laquelle je fut suprise le jour de son départ, qu’il mis un genoux par terre  à l’aéroport pour me demander ma main.tout le monde présent nous regardait sans oublier Caroline qui fut impressionné par la taille du Diament qu’il me tendait. Des l’arme d’émotion roulaient sur ma joue et d’une voix enrouée j’ai accepté sa demande sous les applaudissements de tout le monde. 

    Nous programmons notre mariage le mois suivant. Je voulais quelque chose de simple mais lui non. Il m’a fait comprendre qu’il voulait que je vive mon mariage comme une princesse sans me soucier des dépenses. Alors Caroline et ma famille et moi organisions la cérémonie autour de la superbe piscine de l’hôtel Tiama. La décoration et le service traiteur furent confiés à une agence événementiel qui mit le paquet. Pour ma robe Enselme m'a mis en contact avec une styliste française qui vint à Abidjan deux jour avant l’heureux événement. Notre mariage fut le plus beau jour de ma vie. J’avais dit oui à l’homme que j’aime et depuis je suis la femme la plus heureuse mais il manquais une chose pour combler le tout. En effet, après la cérémonie de notre mariage mon époux dû rentrer en France, car il avait reçu un coup de fil urgent d’un de ses client. Donc en conclusion, lui et moi n’avions pas encore partager le même lit. Humm… quand j’imagine que demain je serai en France et que nous ferons l’amour pour  la toute  première fois j’ai des fourmillements qui traverse tout mon être. 

Sa  beauté IntérieureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant