C'est alors que je réussis
À enfin reprendre vie
Me trouvant pour de bon détachée
D'une si futile amitiéÀ la suite de tes fausses confidences
L'arrivée de cette dépendance
Le retour de bien d'autres encore
Que tu m'infligeas sans remordsEnfin, je triomphai,
À ne plus ressentir cet affeux besoin
Celui qui dans une cage m'enfermait
En ce moment j'en suis bien loinBien que je croyais pourtant,
Ne jamais être libérée de ces tourments,
À ce jour tout s'arrangeait
Et mes pensées se libéraientJe pourrai te remercier de ces quelques leçons
Connaissant à présent tes viles façons
Pour de bon libérée de cette somphe,
Ainsi, je triomphe.
