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Debout devant la porte de son bureau j'attendais qu'il me dise d'entrer.

Pourquoi prend t-il autant de temp?

Va t-il encore m'insulter et me crier dessus?

Pourquoi la porte est-elle verrouillée?

Au bout d'une demie heure je me souviens que j'avais un double des clés du  bureau de mon père dans mon appartement.

Je me dirige vers ma voiture quand je remaque que sa voiture est là et qu'il est donc forcément dans le batiment que je viens de quitter.

Et si il lui était arrivé quelque chose?

C'est ma faute.

Je n'aurais pas du jouer avec le feu.

J'arrive enfin chez moi après 10 minutes de route,mais un de ces  homme qui veut surement ma peau depuis des mois est là assis sur mon canapé un glock 22 à la main.

Il a un flingue.

Il a un putain de flingue.

Il ne m'a pas encore vue.

Je passe une main dans mes long cheveux noirs et passe derrière le canapé le plus discrètement possible pour rejoindre la cuisine

C'est ici qu'il y a tous les couteaux.

Couteau contre pistolet j'ai une petite chance non?

Arrivée dans ma cuisine j'empoigne un gros couteau pour couper de la viande à la lame légèrement émoussée avec un manche en bois

Je savais que ce n'étais pas une bonne idée d'essayer d'arnaquer l'un des plus grands gangs des États-Unis, mais le pire c'est qu'ils ce sont fait avoir comme des débutants.

Ils ont perdu des milliers de dollars  et ils me cherchent partout.

Dire que le prix qu'ils sont prêt à payer pour ma mort s'élève un million de dollars et que tous les criminels les plus recherchés n'attendent que de pouvoir me faire sauter la cervelle.

Ca me donne des frissons rien que d'y penser.

L'homme dans le salon ne sait pas encore que je suis rentrée il croit sûrement que je suis au travail.

Quel con.

Je n'étais pas rentrée depuis au moins deux jours.

Et si il était là depuis mon depart ?

Il m'attendais depuis tout ce temp sur mon canapé un flingue à la main.

Putain de merde.

Une douleur lancinante dans ma cuisse me sort de mes pensées.

Je me retourne quand la main du mec qui était assis dans mon salon maintenant en face de moi attrape violament mon epaule en poussant un juron.

Je baisse mon regard sur le pentalon de mon uniforme de travail et pousse un cri devant ma chaire trouée d'une balle.

-ferme ta gueule salope.

Je marmonne un insulte avant de me rappeler que que je tient un couteau.

Alors avant qu'il n'ai le temp de comprendre ce que je fais je le lui plante dans le ventre et il tombe sur les genoux.

Il hurle un tas d'injures essayant en vain de se relever.

-Qui vient-tu de traiter de salope ?
(Notez la badassitude)

L'arnaqueuse et la traitresseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant