chapitre 60 😙

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Bonsoir les gars 🙂

DANS LA PEAU DE HALIMA

" Dans la voiture de Momo"

*23H56

On avait repris le chemin de retour car Momo à lancé qu'il avait une urgence

C'est vraiment chiant d'être dans la mafia car on ne peut rien faire comme les gens normaux

Je sais très bien que Momo et Ibou y sont toujours dans leurs sales affaires

Je sais pas vous mais mon sixième sens de femme me l'a dit

Je me retourne et vois sur nous sommes suivi par deux 4×4 noirs vitre teintée et ils roulaient comme des malades

Ibou: ( crie ) oh merde accélère Momo ! Ils sont deux à nous suivre putain

Il avait des sueurs froides ! Il n'arrivait plus à parler. Il était juste concentré sur le volant

Il était crispé chose qu'il ne faisait jamais. De tous, Momo est doté d'un calme et il ne laissait jamais rien apercevoir dans son regard. Il gardait toujours son sang-froid dans toutes situations mais cette fois ci la situation semblait le dégénérer chose qui me fait crisper

Ibou: voilà quoi ! Quand je t'ai dit de me laisser prendre une arme tu as refusé ! Regarde où nous en sommes maintenant ! Les filles sont ent....

Momo :( crie ) ta gueule Ibou ta gueule ! Arrête de me faire des reproches de merde ! Qui t'as dit que je prédis l'avenir ?

Le ton montait petit à petit. Nadia avait fermé les yeux pour essayer de se déconnecter de la terre mais j'arrive bien à apercevoir ses tremblements.

Je voulais la prendre dans mes bras et lui dire que tout allait prendre une fin mais au moment de faire l'acte, on se fait couper par une 4×4

Un homme sort habillé en noir avec ses hommes d'honneur et ils avaient leurs armes braqués sur nous

L'homme : sorter de la voiture et on va faire affaire

Personne ne bouge !

L'homme : je lance le compte à rebours ! Mohamed ( Momo) à trois si vous ne sortez pas je tue la femme et la sœur de Abacar

A l'entente du prénom de Abacar des frissons parcourent mon corps

Qui aurait imaginé que j'allais aimer l'avoir venir un jour à mon secours ?
Entendre le son de sa voix me manque, l'odeur de son parfum, le voir me fusiller du regard me manque aussi...

Je sors de la voiture en compagnie des autres les mains en l'air

L'homme était chauve, une longue barbe, des petits yeux et le teint trop foncé. Il était élancé et un peu costaud bref...

L'homme : je veux la femme de Abacar

Mon cœur rata un battement ! Il me veut ? Moi Halima ! Soubahana'allah Dieu sauve moi

Momo: trouve autre chose car celle là tu ne l'auras jamais !

L'homme : Mohamed Mohamed ! Tu pensais vraiment pouvoir la protéger aussi bien que ton stupide frère de Abacar ! ( Rire ) désormais elle m'appartient et tu ne pourras rien faire contre

Chronique D'une NigérienneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant