Armure

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Maxence:-Tu compte tout expliquer ce que tu fait ici chère cousin ?

Les deux hommes était dans une des nombreuses salle à manger avec pour seule lumière,la lune maintenant haute dans le ciel

Vogue:-Plus de viande

Il engloutissait sa cinquième assiette de viande, après des litres et des litres de vin, il avait toujours faim et toujours soif

Maxence:-La servante ne va pas tardait avec ta poularde soit patient.

Il tourner en rond dans la salle. Maxence ne savait pas comment prendre la chose. Depuis qu'il avait trouver son cousin dans la cuisine à dévorer une cuisse de porc, ce dernier n'avait pas lâcher un mot hormis la réclamation de plus de nourriture.
Il ne reconnaissait plus son empereur, lui qui est un homme qui se tient, hormis pour battre à mort sujets, bien tel l'homme important qu'il est. Il voyait non pas son suzerain mais ici un vulgaire animal sauvage.
Il finit par s'assoire et se servir un verre de vin.

Maxence:-Tu ne m'a presque pas envoyer de lettre hormis pour m'informer que tu retarder ton retour! Et tu rentre maintenant sans l'avoir prévenue! Tu sais combien de temps les nobles qui était à cette soirée vont en parler ??

Vogue:-C'est pour ça que j'ai interdit la Cour. Ils vont parlaient pour rien. Je rentre chez moi je n'ai pas a prévenir

Maxence:-Vogue!

Vogue:-Quoi putain?! Arrête de me bassiner avec tes questions ! Tu te comportes comme Rosalya et j'ai pas demandé une deuxième femme!

Maxence soupira. Il finit par ce servir un verre. Il le bu d'une traite.

Maxence:-Si on m'avait dis un jour que ce serai moi qui fait te ferais la moral j'en serais mort de rire tient..

Vogue:-Si on m'avait dis que tu ferais la moral à une personne, surtout à moi, moi aussi je serrais mort.

Ils ricanaient, rigolaient. Un fou rire commença alors. Les deux cousins, de nouveau un sourire au lèvres, bus encore et commandèrent plus de viande.

Une heures était passer. Maxence était totalement sou. Vogue, plus résistant , finissait son verre en silence. Il ne savait pas quelle heure il était mais le palais était sous un silence profond.
Son fauteuil n'était plus confortable et l'empereur ce décida enfin à aller ce coucher, laissant son cousin dormir sur la table

Vogue:-Ne t'ettoufe pas dans ton vomis

Maxence ne répondit pas et Vogue s'en allait.
Dans les couloirs, quelques gardes avaient encore le courage de ce tenir debout. Les yeux à demi clos, ils n'entendaient pas Vogue les dépassaient.
Son appartement n'était pas loins, il espérait ne croiser personne et surtout pas sa femme. Elle ne le lâcherai pas de la nuit

Enfin arriver dans ses appartements, sans Rosalya dans les parages, Vogue retira son armure rapidement avant de rentrer dans le lit. Elle tomba au sol, près du lit

Vogue ce tourna et ce retourna dans le lit mais ne pu dormir. Quelque chose le déranger, l'odeur n'était pas la même. Il avait l'impression de ne pas être dans son lit. Il se retourna encore une fois et toucha en dessous d'un des cousins un tissu lisse. Il s'assied dans le lit et tripota la chose pour savoir ce que c'était. Dans le noir le plus complet, il eu des difficultés mais finit par reconnaître une sorte de bonnet en satin. Rosalya en portait, pendant sa période où ses boucles devait « absolument tenir »
Vogue rapprocha le bonnet de son nez et le renifla. C'était une odeur qui ne connaissait que trop bien, une odeur fraîche comme une prairie. L'odeur de la femme qui désirer le plus en ce monde. Celle qui avait ignorer au bal pour lui montrer son indifférence alors qu'il ne souhaitait qu'une chose, la prendre dans ses bras.

Vogue:-Lao..

Tout d'un coup la porte s'ouvrît et Vogue ce précipita sous le lit le plus vite possible. Une lumière de bougie éclairer un peu la pièce. Il entendit des pieds nu marchait vert le lit.

Lao:-Pourquoi les toilettes son si loin ? Olalal j'ai si froid!

En s'approchant à toute vitesse à vert son lit, Lao trébucha sur l'armure de Vogue.

Lao:-Aï!

Vogue paniqua, elle allait découvrir qu'il était. Ce sera une catastrophe, plus jamais elle voudra qu'il l'approche..

Lao:-Quesque...

La bougie ce rapprochait de l'armure, et du bas du lit, là où était cacher Vogue. Il stoppa sa respiration, pria pour un miracle..

???:-Lao! Je t'ai chercher partout

« Merci bon dieu! » pensa t'il. Sa femme venait de lui sauver la vie.

Lao:-Votre majesté ??

D'un coup de pied, elle cacha rapidement l'armure sous le lit, pour éviter que la princesse pense quoi que ce soit de mal interpréter..

Tyran Dangereux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant