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- Eheh . . . Et bah tu vas rires . . . Mais oui . . . C'est moi . Dis - je nerveusement .
Elle soupire et ferme les yeux pendant un moment . . .
Oula . . . tout va bien madame ?
- Pourquoi ?Demande t-elle .
- Comment ça pourquoi ?
- Pourquoi tu restes constamment avec lui ?
- T'abuses un peu , je suis pas tout le temps avec lui . . . Et il se peut que j'ai des sentiments . . . Pour Sanzu .
Elle écarquille les yeux .
- Sérieusement ?
J'hoche timidement la tête .
- Pourquoi lui ?!Demande t - elle en se levant brusquement .
- Je sais pas . C'est depuis qu'il m'a dit cette phrase. « C'est la première fois que je ressens ce genre de sentiment pour quelqu'un . »
- . . . Sur tous les mecs du Japon il a fallu que ce soit cet imbécile .Soupire t- elle . Écoute , je dis pas que j'ai été la meilleure des sœur et c'est en partie de ma faute si il est comme ça aujourd'hui , mais c'est un putain de toxico qui s'approche de toutes les meufs ! Faut pas le croire c'est un MYTHO .
- Peut être mais moi je l'aime . . .
- Sérieux , on croirait entendre les meufs dans mon bahut . . . T'as passé quoi ? Maximum 3 heures avec lui . Personne tombe amoureux en 3 heures .
- Je tombe amoureuse de qui je veux !
Elle s'assoupit sur le canapé .
- Excuse - moi , je me suis emportée . Mais ça me soule ! Tu mérites tellement mieux .
- Merci Senju . . .
- C'est normal . Elle sourit et se lève pour me pendre dans ses bras .Raconte moi ce qu'il s'est passé aujourd'hui .
Je lui raconte tous .
- Fais comme tu le sens . Mais si y'a un problème n'oublie pas que je suis là .
- Oui , et d'ailleurs ça se passe bien avec ton gang ?
- Oui , en plus on va se battre contre le Kanto Manjikai .
- Tu vas te battre contre ton frère ?
- J'ai le choix ? Bon ! Je vais pas te déranger plus que ça . . . Ah et c'est chelou qu'il t'approche toi .
- Pourquoi ?
Elle me montre les coins de sa bouche .
- Il t'en veut .
Elle ouvre la porte d'entrée avant de crier « Bye !»
Me voilà encore seule . . .
J'avais oublier pour ses cicatrices , et je ne pensais pas qu'il m'en voudrait encore . . .
