Je rentre dans une cabine téléphonique et compose le numéro de téléphone fixe de mon ancien taudis, ça sonne deux fois avant que je puisse entendre la douce voix endormie de ma mère, les larmes commencent à monter lentement, je lui dis clairement la situation elle raccroche aussitôt et je comprends rapidement que je vais devoir me débrouiller pars moi-même et je ressens désormais le même sentiment qu'autre fois c'est-à-dire... l'abandon d'un autre proche encore une fois.
je sors de la cabine et marche sans trop avoir de direction précise mais je me laisse guider par mes pas uniquement avec à la traîne mes valises qui raisonne dans les rues due au frottement des roues au sol,
Je rentre dans un hôtel délabré et miteux, je m'arrête au comptoir et une femme de la 50 taine me reçois gracieusement, je prend une chambre et aussitôt je lui demande :
-vous n'auriez pas un emploi ou du bouche à oreille pour moi s'il vous plaît je me retrouve sans rien à la poche et je n'est plus de domicile d'où ma présence devant vous ...
Je rentre dans ma chambre d'hôtel je dépose mes valises, lentement et je m'effondre au sol une nouvelle fois ...
Je me motive malgré le peu de motivation que j'ai, je ne plus m'empêcher de commencer à vouloir pleurer une nouvelle fois.
Il commence à pleuvoir et le temps n'est pas vraiment propices pour dormir ou même logée dehors, je décide de retourner à la maison l'endroit que je connais temps, l'endroit où j'ai souffert mais appris à aimer avant tout cela, j'arrive devant le portail j'essaie d'ouvrir le portail mais sans succès et rapidement je sens qu'il y est un problème et je reste tétanisé sous la pluie.
Bientôt 1 heure que je déambule en pleine rue et je me rend compte que ma vie et totalement rater.
Je décide alors de prendre mes dernière économie de payer un ticket de train et attendre sur le quai toute la nuit afin de retourner à l'origine de mon ancienne vie.
Le matin ce lève tôt et les rayon de soleil illumine mon visage, j'ouvre lentement les yeux et je m'etire et dire que la semaines dernière j'étais dans ces bras à lui... Dans les bras de l'homme qui autrefois me terrifié mais qui a conquis mon coeur jour après jour, c'etait lui et moi et maintenant c'est moi et moi seulement je me lève pour prendre les vêtements qui tienne dans une pauvre valise car la plus part on était saisie pour une expertise.
J'attend je dirais 10 minutes avant que le train ne passe devant moi j'ai l'impression de sentir son odeur à lui mais cela n'est qu'une illusion, je me retourne tout de même en ayant l'espérance que je me retourne sur lui mais c'est un autre homme qui se tiens derrière moi il a tout simplement son parfum, j'ai les larmes au yeux et je frotte directement mes yeux dans l'espoir que je ne pleure pas d'avantages, je ne pourrais faire sans lui, il est devenu mon pilier le plus solide et le ciment de mon humeur je ne sais pas ce que je ressens actuellement, mais le sentiment de culpabilité me traverse l'esprit de partir alors qu'il pourrais très bien en ressortir... mais vue les accusations cela m'étonnerait qu'il sorte de si vite.
Je rentre dans le train et je vois au loin la villa je lui dis à Dieu et je comprends rapidement que je dois tracer un traie sur ma vie une vie que je voulais tant autrefois.
Je me mets au chaud contre le siège en espérant que la dernière personne sur qui je compte ne me laisse pas dehors...
C'est à dire Lola... Cela fait un ans que nous nous somme pas parler mais j'espère que notre amitié et tout aussi intact qu'autre fois...
Je descend et je commence à comprendre que je retourne dans mon passé mais que je n'est pas le choix ce passé je dois le reprendre en main plusieurs choix s'offre à moi la première je travaille directement avec un simple diplome la deuxième je reprend les études et la troisième... je reprend mes études et en même temps, est je pense que tant donner que j'ai prie beaucoup de retard il m'est impossible d'obtenir une bourse.
Plusieurs scénario ce tourne en boucle dans ma tête... Que Lola me laisse sur le pallier, quelle est déménagé, que c'est pas possible de reprendre les études, le temps que ces scénario tourne en boucle j'arrive devant la porte de lola.
Je n'en même pas le temps de frappé à la porte que je vue une tête très familière à la fenêtre, elle disparu et la porte s'ouvre en trombe pour laisser apparaître une Lola pour du moins extrêmement contrarié la seul phrase qui sors de sa bouche c'est :
- un message ne tue quelqu'un
- dans la situation dans la qu'elle j' etais ... Si
Elle s'avance me sers fort dans c'est bras elle vois ma petite valise et elle me dis :
- rentre.
La mère de Lola me vue franchir le palier de son entrée elle lâche son plat qu'elle tenais de base fermement dans c'est main et elle couru vers comme si c'était Lola qui avais était porter disparu, elle me prend dans c'est bras et elle chuchota:
- merci seigneur...
Elle retire son étreinte, et elle pris mon visage en coupe elle y déposa un baiser sur mon front une larme coule le long de ma joue je me sentis raidir face à ce peu d'amour que je ressentait.
Je monte mes affaires à l'etage et je retrouve c'est escalier similaires à ceux que j'ai plus connaître autrefois.
La mère de Lola ne m'avait pas poser de questions mais Lola... Si énormément.
La question qui revenait c'est...
- Il était bien monté j'espère?
Je ne repondue rien à chaque demande obscène mais ma réponse était oui de toute évidence,
C'est long baiser sur la plage me manque est de toute évidence c'était lui que mon coeur souhaite, et pas un autre...
