𝒸𝒽𝒶𝓅𝒾𝓉𝓇ℯ 𝓉𝓇ℴ𝒾𝓈

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PS : GON N'EST PAS MÉCHANT OU CHIANT DANS CETTE FANFIC DONC NO WORRIES 🫡

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PS : GON N'EST PAS MÉCHANT OU CHIANT DANS CETTE FANFIC DONC NO WORRIES 🫡

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| Bonne lecture ! |
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male ver.

Après avoir eu à faire à Binolt, un cas que je considère comme désespéré de ma classe, Kurapika, Leolio et Kirua entrèrent dans mon champs de vision. Kurapika et Leolio venaient de rejoindre à nouveau leur banc, quelques matériaux dans les mains, tandis que Kirua lui, ne semblait pas avoir bouger depuis le début de l'heure, observant simplement chaque élève de l'amphithéâtre.

Un petit sourire naquit sur mes lèvres, et je me dirigea donc vers eux, montant deux dizaines de marches d'escaliers.

Arrivé à leur hauteur, le premier à m'avoir remarqué fut le blond, et il m'offrît un doux sourire de salutation.

— Tu as besoin de quelque chose, (t.p) ? Me demanda-t-il gentiment en passant une main dans ses cheveux lisses, ceux-là lui arrivant aux épaules.

Mon sourire s'agrandit au ton agréable de sa voix ni trop grave, ni trop aiguë, et je joignis mes mains derrière mon dos, mon téléphone encore entre mes doigts. Je réitéra alors, enthousiaste, m'adressant aux trois en mêmes temps qui me portaient tous leur attention :

— Ce serait pour vous demander quelque chose, s'il-vous-plaît.

Leolio me fit signe de parler, et j'enchaîna :

— Qu'est-ce que vous aimeriez avoir à la Saint-Valentin ?

Ils parurent surpris, cela traduit par le visage étonné du brun, l'expression perplexe du blond, et le sourcil haussé de l'argenté, ce dernier ayant les mains dans les poches de son jean ample, les jambes écartées.

— Comment ça ? Marmonna le Kuruta.

— Genre, tu veux nous offrir un truc ? Sourit grandement le Paradinaito.

J'hocha la tête, timide mais impatient de connaître leurs préférences. Kurapika prit la parole en premier après quelques secondes où il semblait réfléchir :

— J'aime bien les choses faites maisons. Peu importe ce que c'est, même un truc bidon, tant que c'est fait avec l'attention et les efforts de la personne, de ses propres mains, je suis heureux.

Je trouva cela adorable. Je trouve qu'il est difficile de nos jours de trouver de telles personnes. Celles qui ne se contentent que du minimum ou du fait à mains-nues. Qui s'épanouissent rien qu'avec ça. Je faisais partit de ces personnes. Moi, tout ce qui comptait, c'était l'intention du créateur, et rien d'autre. C'est une forme de preuve d'humanité selon moi, et c'est la raison pour laquelle je persistais à tant aimé cette manière de faire et d'être.

𝑫𝑰𝑺𝑫𝑨𝑰𝑵𝑭𝑼𝑳, ᵏⁱʳᵘᵃ ˣ ʳᵉᵃᵈᵉʳOù les histoires vivent. Découvrez maintenant