𝒸𝒽𝒶𝓅𝒾𝓉𝓇ℯ 𝓈ℯ𝓅𝓉

133 29 43
                                    

| ̄ ̄ ̄ ̄ ̄ ̄ ̄ |  | Bonne lecture ! ||_____ ___|(\__/) || (•ㅅ•) || /   づ

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.


| ̄ ̄ ̄ ̄ ̄ ̄ ̄ |
| Bonne lecture ! |
|_____ ___|
(\__/) ||
(•ㅅ•) ||
/   づ

•••

male ver.

Aujourd'hui, nous étions restés moi et mon groupe après les cours dans la petite salle d'étude de notre filière. Il y avait peu de monde, étant donné l'heure tardive, c'est à dire 17 heures 30. J'avais déjà noté pas mal de chose sur le tableau que l'on étudiait pour la critique, Les Raboteurs de parquet.

'Ce tableau offre une riche source de matière pour explorer des thèmes tels que la classe sociale, le travail, et les conditions de vie au XIXe siècle en France. La composition et le sujet controversé peuvent susciter des débats intéressants sur la perception de la beauté, la représentation de la réalité et les normes artistiques de l'époque.' Tout ça fut ce que j'avais résumé de mes notes. Ce n'était qu'une vague perspective du tableau en général.

- Bon, perso' j'ai fini ma prise de note. Vous ? Zushi nous adressa la parole en s'étirant sur sa chaise.

- J'ai fini aussi ! M'exclamerai-je d'un sourire.

Retz et Kirua hochèrent simplement la tête, confirmant qu'ils avaient eux aussi terminés leurs travails.

- On mettra tout en commun demain, j'suis crevé, là. Le brun se redressa. Ou sinon on s'enverra tout sur le groupe ce soir.

- Ok. J'y vais. Il se fait tard. Ponctua la blonde en rangeant ses affaires dans son sac.

Je suivis rapidement le pas et quitta la salle d'étude, assez épuisé de la journée. Je n'avais pour le moment eut aucune occasion de parler de Gon auprès de Kirua. Cela faisait déjà une semaine entière que les travaux en groupes avaient commencés, et parmi ces quelques jours, je fus tant absorbé par mon travail que je n'ai pas pu exploiter le plan de mon 'ami'.

A vrai dire, ça me dérange un peu de devoir mélanger amourette et travail. Non pas que j'ai un balai dans l'cul, mais je préfère travailler sans avoir à penser à telle ou telle chose.. Alala, j'suis vraiment un 'vas-y lui'.

Kirua passa à côté de moi, et je ne sus pour quelle raison ma voix l'interpella, et en me rendant compte de cela, mon cœur rata un battement.

Indifférent, il se retourna vers moi et m'observa de ses pupilles azures, attendant silencieusement à ce que je m'exprime.

- Je... Bégayai-je, nerveux. N-Nan, rien.

𝑫𝑰𝑺𝑫𝑨𝑰𝑵𝑭𝑼𝑳, ᵏⁱʳᵘᵃ ˣ ʳᵉᵃᵈᵉʳOù les histoires vivent. Découvrez maintenant