Prologue

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144 fois.

144 fois.

144 fois que j'ai mal.

144 fois que j'ai voulu abandonner.

144 fois qu'on m'a retirer mon âme. 

De beaux matins, des petites lueurs de lumière traverse les barreau de la petit fenêtre eu dessus du mur, en face de moi. 

Il a l'air de faire vraiment chaud dehors. Je sais même plus en quel mois somme nous mais j'ai l'impression qu'on est en Juillet. Juillet, oui c'est ça. 

Un mois ou tout le monde sort a la plage, fait des sortis avec ses amis et profite de la vie avec ses proches sans ce soucier des autres. Un mois ou tu est sensé sentir le sable chaud par le soleil entre t'est orteils. Un mois ou tu n'arrive plus a dormir a cause des moustiques.

En fixant cette petite fenêtre, je m'imagine faire tellement d'activité dehors avec mes amis ou ma famille, un moment que j'aurais surement aimer. Je m'imagine aller a la piscine avec Maorie, un amie de ma classe. Ou jouer a cache-cache dans le parc a coter de chez moi. 

Mais la réalité me frappa d'un coup quand j'entendis la porte en fer s'ouvrir ésous un énorme bruit, comme d'habitude...

- Aller, debout !

Sa voix venait a peine de rentrer en contact avec mes oreilles que voilà, mon corps commence a trembler. Dommage, faire de si belles imagination pour se retrouver face a sa réalité aussi rapidement, triste, c'était triste.

J'étais replier sur moi même incapable d'émettre aucun sons, aucun bruit, aucune pleur. Je m'étais habituer a ce qu'ils aimes le silence, a ce que je ne parle pas et subi seulement.

Ma tête entre mes deux genoux, et mes bras entourant mes jambes comme pour me protéger d'un danger qui est déjà présent. Je savais que même si j'étais armé, ce danger allait quand même venir vers moi et me frapper de pleins fouet.

Sans même le regarder, je le sentais s'approcher et s'asseoir sur sa chaise de d'habitude, mais aucun mot sortit de ma bouche, n'y de la sienne.

Le contraire m'aurais étonnée !

On reste là dans le silence. Je suis incapable de le regarder, n'y même de le parler même si j'ai envie de l'insulter. Je ne voulais pas qu'il recommence comme toutes les fois, et cette fois, j'étais déterminé a l'idée de me dire qu'il c'est peut être lassé a me faire du mal. Qu'il c'est peut être lassé de ce corp souillé par lui même.

J'avais peur de lui parce que je savais de quoi il était capable avec touts ce qu'il ma fait pour l'instant.

Tu est ridicule, finalement tu mérite bien cette vie merdique !

- Je t'ai dit de te lever, Mon poussin.

Ce surnom débile qui me donnais sans cesse me donna des remonter de vomis.

- Et comment tu veut que je me lève avec cette chaîne ? Dit je avec le peu d'assurance qu'il me reste.

Il ricana et continua de me fixer alors que je le regardais droit dans les yeux. Je suis clairement suicidaire, et même si on m'a mis a genoux de nombreuses fois sans demander mon avis, je continuerais d'agir comme si rien de tout cela ne m'avais toucher.

- Même avec une chaîne autour du cou, tu fait la maline, tu prends exemple sur lui.

Je sentis mes larmes qui traçaient leurs chemins de d'habitude sur mes pommettes. Je ne veux pas parler de lui. Tout ! Mais pas lui car juste le fait de le mentionner sans dire son prénom me rend folle. Ça me ronge. Ça me rend putain de vulnérable ! Comme si j'étais mise a nu et je déteste ça. 

Et il revenais a chaque fois pour me faire du mal, comme il aimait le faire.

Il continue a me fixer pendant que je détourner mes yeux qui se remplissait de larmes, en pensant a lui.

Cet homme qui envahit mes pensées depuis jour et nuit.

Même avec toutes les horreurs qu'il ma fait, il continue quand même a me scruter avec ses yeux de pervers, il hésita même pas a s'abaisser pour regarder en dessous de mon t-shirt et passa sa langue sur ces lèvres sèche toujours avec sa clope entre ces doigts.

Assis là, sur les fesses et sur ce matelas miteux et déchirer et seulement vêtu d'un long t-shirt qui était blanc mais qui est maintenant marron, je remet ma vie en question. Dans cette sombre cave gigantesque, entre ces quartes murs qui ont entendus chacun de mes pleurs, chacun de mes cris, chacun de mes gémissement.

Est ce que j'ai fait quelques chose de mal pour que dieu me punisse de cette manière, est ce que je le mérite réellement ?

Est ce que j'ai fait du mal a quelqu'un jusqu'à que dieu se venge a sa place ?

On dit souvent que si nous avions vécus un malheur, c'est qu'il y a forcément une raison car Dieu ne me punirait pas sans raison.

Peut être qu'il me réserve une bonne fin dans cette histoire.

- Écarte t'est jambes.

Ou peut être pas.

S'il te plaît, non...

- JE T'AI DEMANDER D'ÉCARTER T'EST PUTAIN DE JAMBES !!

Je tremblais tellement que j'avais peur de faire une crise cardiaque.

- Je-Je n'ai rien fait cette fois, s'il te plait. Dit je ne partant en sanglot.

J'avais crier tellement fort que ces yeux noir devenait encore plus sombre que d'habitude.

Fous de rage, il se lève pendant que je resserre ma prise sur mes jambes même si elle me font mal.

Il se lève trop rapidement et s'approche de moi pendant je repartit en sanglot, sachant pertinemment ce qu'il allait me faire.

Il tira sur la chaîne me fessent allongée.

Mon corps était trop faible pour faire quoi que se soit.

Il s'accroupit a mon niveau et écarta mes jambes d'une violence en les accrochant au mur avec d'autres chaînes.

Brip.. Brip.. Brip..

En entendant le bruit métallique de la machine, je me déchire les cordes vocales pour qu'il me lâche, mais ces sans compter sur les chaîne qui attache désormais mes jambes.

- Calme toi, mon poussin, ce cauchemar se terminera bientôt, je t'en fais la promesse.

Je criais de toute mes force et puis il se releva.

Brip.. Brip.. Brip..

Et je sentit le bout de l'objet toucher mon intimité, je hurlais tellement fort qu'il mit un mouchoir dans ma bouche.

- Chut, ils vont t'entendre et tu sais ce qu'il vas t'arriver après, nan ?

Brip.. Brip.. Brip..

Il s'accroupit a nouveau vers mes jambes et tape sur les boutons de la machine et cette fois ci l'objet entra complètement en moi sous mes cris étouffer par le tissu dans ma bouche.

Brip..Brip.. Brip..

Cette fois ci, c'est vas et vient était plus brutaux, il avait accélérer la vitesse de la machine.

Brip.. Brip.. Brip..

Je pleurer, hurlais mais rien y fait, la machine continua de me pénétré jusqu'à ce que je saigne, encore.

Brip.. Brip...

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The Devil's Angel | Tome 1 |Où les histoires vivent. Découvrez maintenant