Je Sombre (2)

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Kagami

Sa fait deux mois aujourd'hui que je vis dans mon nouveau chez moi. Je fais mes tâches de tous les jours le week-end étant au lycée la semaine. Et les jours de cours, je suis heureux de m'éloigner de ma vie à la maison. Je peux discutés mais aucun cas de mes problèmes, mes amis ont n'en assez avec les leurs. Donc j'essaie de garder le sourire à chaque fois que je passe le portail. Sa me fait tellement de bien, de les côtoyés, sa enlève une épine chaque jour du pied. Même si je paraît insensible au regard des autres au vu que mon alpha ne soit pas dans le même lycée que moi. Je m'en fiche, c'est notre contrat et j'ai pas d'explication à leurs soumettre. Même si quelques fois inconsciemment j'y pense. C'est pas voulut de ma raison non c'est simplement mon statut d'Oméga qui me le fait comprendre et ressentir. Parfois je me frustre moi même de ne pas obligé mon corps à ressentir son manque. Et les autres le ressentent surtout les autres omégas comme moi. Je ne peux leurs cacher mon désarroi fasse à mes émotions. Pendant notre première vie en commune et je parle bien avec mon alpha. C'était désastreux, ont se disputés tout le temps où se faisaient la gueule dès qu'ont le pouvait. Je n'arrive plus à tenir tellement ont ne contrôle pas nos réactions. Pour le moment rien de grave, juste des mots blessant lâché par la colère, l'incompréhension. Je m'étais même renfermé sur moi même pendant une semaine entière. Je veux dire à la maison, au lycée je me cache derrière ce que je sais faire de mieux sourire. C'est impressionnant tous de même comment c'est si facile de porter un masque. Et de l'enlever une fois quand retourne dans ce lieu qui refait ressortir la réel réalité. Même lors de m'en renfermement mon alpha c'est enfin de compte pas préoccuper. Oui je n'avais aucune importance à ces yeux et je pouvais le ressentir. Et putin qu'est-ce que j'avais mal ma douleur était aussi forte que si j'avais eût une coupure profonde. Encore maintenant je n'arrive pas à cicatriser et je trouve cela injuste que je sois de nous deux à subir cette souffrance. Sans m'en rendre compte je sombre, j'apprécie désormais ce masque, cette solitude et ce semblant de vie que j'ai accepté de porter. Mais aujourd'hui je suis heureux car dans deux jours, je pars au Etats Unis. Oui ma mère devait me voir d'urgence et le seul moyen et de m'y rendre. J'étais tellement heureux que j'ai retrouvé mon sourire. Donc là j'ai juste hâte de quitter cette enfer et de profiter à fond de mon séjour là bas. Je pars deux semaines où je pourrais revoir mes amis que j'ai gardé contact. Même s'ils ne savent pas ce que je vis, je ne veux pas les inquiétés. Mais au contraire profiter de nos moments ensembles. Du côté de l'alpha énervant qui me sert de lié bin rien de nouveau. Toujours fidèle à sa réputation de connard et encore je mesure ce mot. Qui à mon avis est trop gentil et pas suffisamment à la hauteur de monsieur. Il ne rentre plus qu'à des horaires dont moi je dors déjà. Son repas prêt ou jusqu'à son petit déjeuner. C'est devenu un cheminement de notre vie en commun. Dès que j'ai finit le petit déjeuner, je pars directement à mon lycée. Lui, je ne sais pas ce qu'il fait de toutes façons comme il me l'a souvent répété. Je reste à ma place qui m'est était donné et je me mêle en aucun cas de ce qu'il fait. Ce jour là quand il a prononcé ces paroles, j'étais brisé que je n'avais pu retenir mes larmes. C'était pour moi la goutte de trop. Et depuis plus rien, je n'arrive pas à contrôler mes émotions dès que je le vois. Ces comme si même mon corps, mes émotions,mes sentiments m'ont trahi. Mes larmes une fois dans ma chambre où encore quand je passe la porte d'entrée afflue sans que je puisse contrôler. J'en devient dingue que je voudrais même mourir. Oui vous m'avez bien compris mourir qui pourrait penser une seul fois à se mot. Juste ce mot qui vous traverse l'esprit, qui vous rends encore plus vulnérable que vous l'êtes. Alors que ce n'est qu'un simple mot pourtant c'est énormément de choses. Liberté oui la libération de tant de souffrance comprimé au fond de soi. De chercher juste la paix, d'être enfin soi même. Que de mot pour pouvoir se libérer alors que juste le mot mourir veux tout apporter. Je sais que ce n'est pas là solution à toutes épreuves. Car d'y penser à la souffrance d'autres qui sont là me fait tenir pour ne pas céder au geste. Ce geste qui pourrait valoir plus que je subit certes aujourd'hui. Là, je suis allongé dans mon lit, dos à ma porte d'entrée. Mes yeux fixant l'extérieur, c'est une belle soirée, la brillance des étoiles me réchauffe mes tourments. Encore un jour à supporter ici et je pourrais peut-être retrouver et me sentir vivant. Oui vivant loin de tous mes problème et pour quelques jours ne plus y penser. Et si vous voulez savoir si Aomine est au courant bin oui. Mais à quoi bon qu'il le sache, il n'en a rien à faire. Sa prouve bien que malgré que je lui soit lié, je n'ai pas plus d'importance à ces yeux. Même ce jour là où je me réfugier dans ma chambre après notre disputes les larmes aux yeux. Il n'a rien fait non il est simplement parti et n'est rentré que le lendemain. J'allais ouvert la porte pour me rendre au lycée. Il était là sans expression, je suis parti sans un autre regard. Je me doutais déjà où et avec qui il avait passé la nuit. En prenant l'ascenseur ce jour là, j'étais encore plus anéanti que je mettais écroulé assis au sol. Je ne voulais plus ressentir cette horrible douleur, sa me détruise plus que je l'aurais imaginer. Le jour enfin arriva de mon départ, j'étais aux anges mais une partie de moi était triste et mort.

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Des Épreuves jusqu'à l'Amour Où les histoires vivent. Découvrez maintenant