Je ne saurais décrire ce que j'ai ressenti à ce moment-là.
Mais mon esprit de souvient de ton beau sourire.
Alors que mon visage exprimait un éclat de rire,
Mon cœur, traitre, bondissait de joie.Ta main glaciale s'est entrelacée à la mienne, encore brûlante de notre contact.
Mon épiderme s'est enflammé devant ton acte.
Je t'ai souri.
Ignorant le doux sentiment que j'ai ressenti.Et puis tu as prononcé mon nom.
Et tout s'est emballé.
Et tu m'as demandé comment j'allais.
Et je n'ai pas osé te dire "non".Parce que la vérité était
que je n'allais pas bien.
Depuis des mois, mon
esprit s'est accroché au tien.
Sans m'en rendre compte,
tu régnais toujours dans un coin,
Et maintenant je ne peux plus
rien face à ce lien.Tu ne le ressens sûrement pas,
Mais je sais qu'il est là.
Tes beaux yeux bleus et ton sourire à la fois,
M'ont fait tout ressentir sans foi ni loi.Cruelle, cette attirance
me donnait envie de pleurer.
Douce, cette attirance
me donnait envie de voler.
Coléreuse, cette attirance
me donnait envie de crier.
Chaleureuse, cette attirance
me donnait envie de m'y
réconforter.Les yeux clos, je me laissais emporter.
Je ne pouvais pas tomber pour lui.
Mais je ne pouvais plus nier.
Alors que son sourire me hante jour et nuit.Et puis tout s'est envolé quand
mon nom a traversé ton lèvres.
Scellant les miennes, je ne savais
quoi te dire en retour.
Tu m'as posé une question, je n'ai su quoi te répondre sans exposer ma fièvre.
Je me suis alors tu dans un silence pesant et lourd.
Puis je me suis détournée pour ne plus avoir à faire face à tes yeux bleus,
Les mêmes qui peuplent mes rêves
et colorent les cieux.Finalement, tu es partie en me laissant me maudire.
Puis je t'ai recroisée, trop de fois pour compter.
Et chaque fois, mon regard s'est accroché sur ton visage me faisant pâlir.
Et à la dernière minute, j'ai failli renoncer.
Mais je ne suis pas venue te parler,
Trop timide pour tout t'avouer.Personne ne sait, mais tout le monde
en parle dans mon esprit.
Je ne te regarde jamais, mais je te vois toujours même, à des lieues d'ici.
Mon cerveau connaît ton odeur, bien qu'on ne soit jamais assez proche pour que je respire le même air que toi.
Mon bouche prononce ton nom en douceur, bien que je n'ai jamais l'occasion de le dire de vive voix.Nous ne sommes pas faits pour être ensemble,
Mais j'ai la douloureuse sensation de ton regard sur moi.
Quand on se croise, je ne pose jamais mes yeux sur toi,
Quand tu me tournes le dos, je pense à toi et en tremble.Tu connais mon prénom,
Finalement, tu sais qui je suis.
Je connais ton nom.
Après tout, je t'ai tout dit dans mes écrits.A peine t'ai-je quittée,
Que les images ont débarqué,
Qu'un sourire s'est implanté,
Et que la chaleur en moi est restée.Je pensais être invisible,
Que tu ne savais pas que j'existais.
Mais tu m'as prouvé que c'était possible,
Que tu savais qui j'étais.Mon nom sonne si bien quand il sort de ta bouche,
Comme les mots qui, sur le papier, se couchent.
Entourés du bruit infernal, je n'entendais plus rien.
Nos amis riant ensemble, je ne pensais plus à rien.Oh oui, la femme cachée
derrière ces mots pense à lui.
Mais les personnes devant
ces mots pensent à eux.
Peu importe qui, un visage
nous vient à l'esprit.
ᴄᴀʀ ᴜɴ ᴄœᴜʀ ᴠɪᴅᴇ ʀᴇɴᴅ ᴍᴀʟʜᴇᴜʀᴇᴜx.
Tout le monde pense à
quelqu'un devant mes mots,
Et je suis fière de nous faire
ce cadeau.L'amour est un concept génial,
Qui nous fait rêver d'une vie royale.
Je n'aurais jamais le courage d'assumer,
Je fais donc le choix de rester bloquée.
Mais j'espère que vous aurez le courage que je n'ai pas,
Et ainsi réaliser tous vos rêves délicats,
Et les faire vivre sans dissimuler tous les éclats.
Car l'amour est un concept génial sous tous ses états.
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𝑱𝒖𝒔𝒕 𝒎𝒆 - 𝒖𝒏 𝒄𝒊𝒆𝒍 𝒅𝒆 𝒃𝒂𝒏𝒂𝒍𝒊𝒕𝒆' -
Historia Corta𝑪𝒆𝒄𝒊 𝒆𝒔𝒕 𝒖𝒏 𝒓𝒆𝒄𝒖𝒆𝒊𝒍. 𝑼𝒏 𝒓𝒆𝒄𝒖𝒆𝒊𝒍 𝒅𝒆 𝒑𝒆𝒕𝒊𝒕𝒔 𝒕𝒆𝒙𝒕𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒅'𝒊𝒎𝒂𝒈𝒊𝒏𝒆𝒔... 𝑪𝒆 𝒔𝒐𝒏𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒑𝒆𝒕𝒊𝒕𝒆𝒔 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒎𝒐𝒊 𝒒𝒖𝒆 𝒋'𝒆́𝒄𝒓𝒊𝒔 𝒒𝒖𝒂𝒏𝒅 𝒋𝒆 𝒓𝒆𝒔𝒔𝒆𝒏𝒔 𝒍𝒆 𝒃𝒆𝒔𝒐𝒊𝒏...