Esclaves de nos désirs (corrigée)

Chapitre 1- Vendu

- Combien pour le numéro 219 ? Regarder le ! Jeune, blond, yeux clairs. Très rare ! Le seul point négatif c'est sa faiblesse. Son ancien propriétaire le faisait travailler au champ. Mais nous savons tous qu'il pourrait satisfaire d'une autre façon bien plus intéressante.

Tout le monde dans le marché noir rigola de leur rire pitoyable. Le même rire sadique depuis 18 ans. Sans jamais s'arrêter...

Pendant que les acheteurs donne leurs prix, je vais vous expliquer ma situation.

Je m'appelle Mathias, 18 ans. Ma mère avait été enlevé puis vendue inégalement à 12 ans. Elle accouche et meurt à 21 ans. Et c'est là que je suis née. Un blondinet pas mal mais faible. Mon ancien maître était aussi celui de ma mère. 《Je ne veux pas abuser de toi. Ta mère était très libre tu sais, ton père et elle était toujours ensemble. Vouy avez eu de la chance de tomber sur moi. Je ne cherche que des gens pour m'aider aux champs.》 Il avait été très gentil avec moi. À sa mort, sa fille (une sadique de la pire espèce) et son mari (un vrais soumis) eurent ma "garde". Et c'est là, que je compris se qu'était la vrai vie d'esclave, une vie terrifiante et remplie de regard plus dedaigneux les un plus que les autres.

Et mon père me direz vous ? Un magicien qu'a rencontré ma mère. Un homme de passage à qui elle ne dit pas qu'elle était esclave. Lui et ma mère restèrent ensemble le temps de sa tournée puis il partit en lui promettant de revenir. Et se n'est pas qu'il n'est pas venu, mais que ma mère était partie. Je me souviens de sa tête en voyant un petit garçon aux même yeux que lui ouvrir la porte. Je ne sus que plus tard qui il était...

Non, je ne vis pas au 19 ème siècle. Je vis bien dans les années 2000. Et oui, des humains sont encore vendu et traiter comme des animaux. Le marché noir vent beaucoup de choses vous savez.
- Qui dit mieux que 10'000 ?

Déjà? Dix mille!s

- Oui ? Numéro 440 ?

Mon regard se porta sur l'homme tenant un petit panneaux 440. De l'autre main il montre le chiffre qu'il donnait. Choquée, je regardais exagèrement le vendeur, je vaut pas ça ?!Mec, je sais même pas faire quelque gâteau moi même, et je le savait car à chaque que j'avais essayée pour mes maître, je fus punis après. !

- Q-qui dit mieux que... que... 100'000 ? 100'00 une fois. Deux fois. Vendu! L'esclave 219 est vendu à l'homme au manteau noir !

On me fit descendre de la scène, puis avancer jusqu'à une petite limousine noir ou m'attendais l'homme au manteau.

- Baisse la tête, je ne veux pas que tu te fasse mal.

Il baissa son capuchon et je vis deux yeux verts magnifique, des cheveux courts et mal coiffé. Je dû fixer la personne un moment avant de me rendre compte que la voix était tous sauf masculine et que le visage était efféminé. Une fille ? Au marché noir ? Non que les femmes y sont rares, mais en général elle était plus comme la fille de mon ancien maître. Elles étaient vielles et sentaient le tabac, elle avait aussi un regard de... perverse. Je frissonne rien qu'en repensant à ça. La femme, fille devant moi était plutôt jeune et jolie. Son côté garçon manqué ne me dérangeait plus maintenant que j'étais sur que c'était belle et bien une fille.

- C'est pas moi qui t'es acheté. C'est le jeune maître, Vincent.

- Pourquoi êtes vous là alors ?

- Je suis celle qui règle tout les achats de monsieur au marché noir. Mais, c'est lui qui me donne le prix que je dois dire.
- Je vois...

- Il m'a aussi chargé de vous apprendre comment on se comporte chez lui.

- Bien... je vous écoute.

- Premièrement :
● Garder son calme à toute épreuve.
● Ne jamais refuser une de ses nombreuses requêtes dit-elle en exagerant sur "nombreuses".
● Ne jamais, jamais et je dis bien jamais lui désobéir.
Compris ?

- O-oui.
- Si tu suit ses quelques règles, tu t'entendra à merveille avec lui.

Plus on approchait de la destination, plus j'ai peur de rencontrer se fameux monsieur Vincent.