chapitre 4- Révélation

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Je me dirige devant ma porte. J'ai l'impression de vivre dans un immense secret. J'en vois les contours sans le voir entièrement. Ce secret avait l'air de plonger tout le monde dans de la tristesse, de la colère et de la honte. Je soupir et entend la porte à ma gauche s'ouvrir, Alice.

- Tu devrais aller parler avec Vincent. 

- Pourquoi, on ne se connaît pas.

- Viens, entre. Je dois te dire quelque chose d'important.

La pièce ne contenait qu'un lit, une armoire, un bureau et une coiffeuse. Une porte se trouvait au fond de la pièce, la salle de bain je pense. Je m'assois sur la chaise de bureau et elle en face sur le lit.

- Monsieur Vincent connaissait ton ancien maître, Donald. Il était l'oncle de monsieur. Donald parlait de toi comme de son petit fils et de ta mère clmme de sa fille. Tu ne t'en souviens peut être pas, mais monsieur Vincent à vécu avec toi il y a longtemps. Se souvenir à du s'effacer de sa mémoire aussi mais vous vous connaissez. Je connais le maître depuis longtemps et il me parlait toujours de toi. Et puis il y a eu la mort de Donald. Mariah, sa fille, interdit à Vincent de venir te voir. Madame King a voulu calmer le pauvre enfant mais... l'accident eut lieux. 

- Quel accident.

- Ce n'est pas à moi de te le dire.

- Alice !

- Non, elle se leva. je ne te dirais rien alors n'insiste pas. Mais si un jour tu le sais... n'oublie jamais ça...

《le Maître n'est pas mauvais.》 D'habitude, cette phrase n'est pas utilisée pour que l'on en veuille pas à quelqu'un ? Vincent a dut faire quelque chose de grave. Ou peut bien même Mme. King? Pas de photo ou de parfin féminin se trouve dans la demeure alors on se pose tout de même des questions.

je sortis de cette pièce totalement perturbé par ce que m'a confiée Alice. alors comme ça je connaissais Vincent étant petit? Je me remets devant ma nouvelle chambre. Puis je dévie encore vers une autre chambre. Celle de Vincent. Je tend l'oreille à la recherche d'un signe de vie.

Une porte se ferme, de l'eau coule à l'infini. Un bain. Je me rappelle que je devais lui sortir ses affaires. Je tourne la poignée et entre. La porte de la salle de bain était entre ouverte et la buée en sortait. Je m'approche de l'armoire qui était bien haute pour mon petit mètre 67/68. Je dus me mettre sur le lit pour en voir le haut. Je vis le pyjama tout, tout, TOUT en haut. Quel géant pouvait mettre un pyjama là haut ? Ah oui, un Vincent de 1m85. J'étais à 13 cm de lui ! 13 !frustré je me mit à sauter sur mes pieds sans même arrivé à toucher le tissu. Mon dieu, suis-je aussi petit que ça?

 Bon d'accord je fais la taille d'une fille de 14 ans maximum. Je tenais un truc! Je tire et une mallette tomba sur le tapis avec le pyjama sans un bruit. Ouf...

Le contenu de la mallette c'était déversé sur le tapis. Sachet de pilule, poudre blanche, seringue. Et une collection de ciseaux était dans un sachet. 《5 ciseaux rouge et un ciseaux noir》 voilà se qu'il y avait sur le sachet. 1,2,3,4,5... ou est le noir? Mince il a du tomber ! Je range tout les autres sachet pour pouvoir mieux chercher. Rien, rien, rien. Je me cogne contre le bureau. Aïe !

- Math...

Je crus entendre un murmure. Je regarde l'heure, je suis arrivé il y a 1 heures déjà? Il est vrai que j'ai réorganiser l'armoire à ma portée mais de la à prendre 1 heure et soudain j'entendis un bruit sourd provenant de la salle de bain, interpelé je me mis à courir alarmé par ce bruit et découvrir avec stupéfaction...

Esclaves de nos désirs (corrigée)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant