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" L'amour est un mystère. Toi tu es là. Clé, mais belle ne viens pas me trouver ."












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Chapitre 2

- II -

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Inconnu







L'odeur de transpiration qui se dégage après une bonne partie de jambe en l'air, me prend le nez. Et putain qu'à se moment même une envie de vomir me prend les tripes.

Je me relève rapidement enfile mon caleçon, puis chope mon paquet de cigarette et mon briquet. Je prends une Cigarette, la porte à ma bouche et cela même sans avoir atteint le balcon de ma chambre, je l'allume et inspire un bon coup.

j'inspire une bonne bouchée de nicotine, qui fait automatiquement disparaître mon envie de vomir et calme un peu ma nervosité.

Le vent frais entre en colision avec mon corps, casiment nue. Mais, je n'y prête pas attention. Je regarde juste la noirceur de ces bois qui nous entourent et profite de se silence plutôt apaisant.

Enfin, sa c'était avant que la chose qui se trouve nue dans mon lit ouvre sa bouche.


_ Je suppose que je dois me casser maintenant? aboie la blonde d'une voix aïgue

_ Tu supose bien. dis-je sans me retouner

_ J'ai l'impression de n'être qu'un vide couille pour toi N- Je la coupe

_ Prononce pas mon prénom de ta bouche de suceuse, Nina. Dis-je d'une voix autoritaire

_ Tu aime pourtant lorque je le crie ton prénom ! me crie-t-elle fièrement


Je n'ai pas eu le temps de bien me calmer. Je suis encore énerver de cette putain de situation et cette conne s'amuse à m'énerver encore plus. Je l'ai appeller pour baiser est esperer trouver un peu de calme, avant le début de tout emmerde. Mais putain, je ne suis pas détendu. et elle va le savoir

je jette le mégo de cigarette que je tenais dans les mains, puis d'un pas rapide je m'accroche delle, sous sous regard apeuré. Et a se moment, elle s'en douter. C'était la fin pour elle.

Elle me supplie de son regard en essayer de reculant au fond du lit. Mais trop tard, la bête était de sortie.Et à cet instant, une seule envie me passait par la porte et pour me détendre, il fallait que je me plie à cette soudaine envie.

Je ne lui laisse pas le temps de me supplier, que je lui empoigne sans ménagement la gorge et la plaque de son corps nue rageusement contre le mur.

Son corps en contact du mur, lui fait arracher un râle, mais lorsque mes mains sur son coup se resserre, la douleur sur son visage me procure un doux plaisir. Sous son viga tout tordant de douleur. Je me penche vers son oreille et lui mumure


_ Il me semble bien t'avoir déjà dis de fermer ta gueule. Tu viens, je te baise et là tu peux crie comme une truite dis-je en desserrant un peu ma prise Après t'avoir baiser, tu ferme ta gueule et tu te casse.

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⏰ Dernière mise à jour : Sep 10 ⏰

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Esmeralda| Ma vie après toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant