Mon prince [ BxB ]

4. Obsession

Pdv Amos

*Quelques minutes plus tôt*

Les pneus de la lamborghini glissement en silence sur la route alors que je me dirigeais vers le fameux bar où travaillait mon chaton.

Je n'avais fais que penser à lui pendant ces derniers jours et je n'allais pas le laisser m'échapper.

Une fois devant le bar en question, la voiture s'arrêta et je descendis, suivis par Lorenzo qui suivait mes pas.

Quelques subordonnés m'accompagnèrent et j'ouvris la porte, laissant tomber un silence instantané dans la salle.

Je vis mon chaton le dos tourné, enfilant gracieusement son long manteau noir.

Un sourire obsessionnel me monta aux lèvres en le sentant me heurter.

Il était si mignon, le haut de sa tête atteignait à peine au haut de ma poitrine. J'eu l'envie intense de le prendre dans mes bras mais je me retiens. Je ne voulais pas effrayer mon petit chaton.

Je le regarde tourner la tête vers moi, levant les yeux vers mon visage, me laissant l'occasion d'apercevoir son visage de près.

Si putain de magnifique.

Je n'étais pas déçu non, j'étais même surpris. C'était au-delà de mes espérances.

La seule mauvaise chose était tout ces gens qui avaient vu son magnifique sourire...

Puis ses jolies yeux bleus croisèrent mon regard. La façon dont ses cheveux noirs courts encadrait doucement son visage, la manière dont ses lèvres s'étaient entrouvertes en me regardant.

Je ne savais honnêtement pas comment j'arrivais à ne pas le réclamer tout de suite.

Puis ces jolies lèvres s'ouvrirent alors qu'il parlait :

- Désolé, je vous avais pas vu.

Sa voix... Douce et nonchalante.

Je fixe ses lèvres puis ses traits, il était vraiment parfait. Et tout pour moi.

Je voulu alors connaître une chose...

- Comment t'appelle-tu ?

Je le vis cligner des yeux, le trouvant adorable.

- Az et vous ?

Az...

Quel nom étrange.

Ce n'était certainement pas son véritable nom.

Mais je souris tout de même en l'entendant me demander le mien.

Puis je vis cette femme de tout à l'heure lui demander s'il ne me reconnaissait pas...

Elle osait lui parler juste devant moi.

Mais peu importe, elle n'était pas importante.

Je la ferais disparaître plus tard.

Personne dans cette ville n'ignorait mon nom. Enfaîte, le monde entier craignaient ce dernier et voilà cette brebis égaré qui ne me connaissait pas.

Peut-être ne connaissait-il pas mon visage ?

Mais j'allais bientôt voir la reconnaissance dans son regard,