Mon prince [ BxB ]

6. Mystère

Pdv Amos

Je...

Je l'avais entre mes mains...

Dans mes bras...

Je l'embrassais sans pitié, j'en avais tellement envie. Et par je ne sais quel moyen, il avait réussi à prendre le contrôle, me renversant et me plaquant au sol.

Il semblait pourtant si...

Fragile et doux.

Il était plus petit que moi, plus fin et beaucoup moins musclé...

D'où lui sortait toutes cette force ?

Comment Az pouvait-il être un tel loup déguisé en agneau ?

Mais cela m'excitait d'autant plus.

Car le jour où je l'attraperai et que je réussirai à le soumettre...

Je sais à quel point il doit être droit dans sa ligne de dominant et j'allais lui faire goûter le goût de la soumission.

J'étais moi-même un dominant, c'était dans mes gènes. En tant que chef de la mafia, j'ai toujours eu le contrôle de tout et je n'aime pas que ce ne soit pas le cas.

Az allait se soumettre à moi qu'il le veuille ou non.

Il ne m'échappera pas.

Il semblait être un dominant de nature, il l'avait dit lui-même.

"Amos, je ne me suis jamais fais baiser et ça n'arrivera jamais. Alors n'espère pas pouvoir le faire".

Ces paroles...

Cela voulait surtout dire que personne n'était passé avant moi.

J'allais lui prendre cet autre virginité, j'en était presque obsédé.

"Presque"...

Non, je l'étais totalement et sans retenue.

J'allais le prendre si fort et si bien qu'il me supplierait de le baiser.

J'avais tellement hâte.

Je ressentais encore ses lèvres douces sur les miennes, la façon dont il avait gémit avant que cela ne dérape...

Je me rendit compte que ce n'était peut-être que du cinéma, ce gémissement...

Mais je m'assurerais que les prochains gémissements soient authentiques, je m'assurerais qu'il crit mon nom pendant que je le prenais.

Je me souvenais encore de la sensation de l'avoir entre mes bras, ma main sur sa hanche...

Cela avait été tout simplement délicieux.

Mais il avait cette façon de m'échapper...

J'allais devoir l'attacher. L'avoir pour moi seul m'était nécessaire.

- Monsieur.

La voix de Lorenzo attira mon attention.

Je le fixe alors, un air dangereux sur le visage.

Il venait de me déranger alors que je pensais à mon petit chaton.

Un chaton pour l'instant rebelle mais j'allais bientôt l'avoir à mes pieds.

Je l'imaginais déjà à genoux devant moi ou alors sur mes propres genoux, empalé sur ma bite tout en gemissant comme la petite salope qu'il sera bientôt.

Lorenzo baissa alors les yeux, l'air nerveux alors que je me reconcentrais sur lui.

- Excusez-moi Monsieur, des problèmes importants avec le dirigeant d'Égypte sont survenus.