Une semaine s'était écoulée depuis cet incident, et Pedro et moi avions peu communiqué, voire pas du tout. Aujourd'hui, c'était mon jour de congé.
Pedro était de nouveau rentré tard, mais il n'était pas seul,une femme l'accompagnait. Cette situation m'a profondément contrarié. Pedro m'a lancé un bref regard avant de se diriger vers sa chambre avec la femme.Marchant d'un pas lourd, je me dirigeais vers ma chambre, mon esprit en proie à une tumultueuse tempête de pensées.
Soudain, les gémissements de plaisir émis par la femme qui venait d'entrer dans la chambre me tirèrent violemment de mes réflexions. Une brèche se créa dans mon cœur, laissant échapper une douleur indescriptible.Mes yeux se remplirent de larmes malgré moi.
D'un geste résolu, j'entrai dans ma chambre et refermai la porte avec une intensité inattendue. M'affalant sur mon lit, je fus submergé par une cascade de larmes, libérant ainsi la détresse que je gardais en moi.Enfermé dans mon lit, noyé dans mes pleurs, je me suis finalement endormi. Vers 4 heures du matin, un réveil amer m'a secoué. Mes yeux brûlaient, marqués par les larmes de la nuit. Descendant lentement vers la cuisine, chaque pas était une épreuve. Un verre d'eau englouti, je m'effondrai sur une chaise, laissant mes pensées errer vers les événements douloureux survenus quelques heures auparavant. Incontrôlables, mes yeux se remplirent à nouveau de larmes.
"Tu ne dors pas ?"
Lorsque j'ai relevé la tête, Pedro se tenait devant moi, ses cheveux en désordre. Nerveusement, je serrais le verre dans ma main. Au moment où j'allais me lever pour partir, il a fermement attrapé mon bras.
"Qu'est-ce qui ne va pas ?"
demanda-t-il, son regard empreint d'une sincère inquiétude.En silence, j'ai agrippé mon bras et me suis dirigé vers ma chambre, Pedro me suivant.
"Hé Vicky!" Il a saisi mon bras et m'a tourné vers lui.
"Je ne te lâcherai pas sans que tu me dis ce qui ne va pas."
Je fixais son visage avec dégoût.
"Rien, laisse-moi."
"Tu vas bien ?" murmura Pedro, sa voix empreinte de préoccupation sincère, cherchant à pénétrer le voile de ma tristesse.
"Qu'est-ce que cela te concerne ?" répliquai-je, mes nerfs à fleur de peau, tandis que l'écho de ma détresse résonnait dans mes paroles.
"Que veux-tu dire ? Bien sûr, cela me concerne."
"Oh, bien sûr, tu agis comme si je n'étais pas là depuis une semaine, et tu amènes une femme comme si de rien n'était !" Les mots sortirent de ma bouche teintés d'une amertume profonde.
Pedro me rapprocha avec douceur vers lui, nos visages si proches que je pouvais sentir son souffle.
Mes yeux se remplissaient lentement de larmes. Malgré mes efforts pour paraître forte."Ne me regarde pas comme ça... s'il te plaît," soupira Pedro d'une voix empreinte de regrets, la tristesse teintant chaque mot.
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Real face
FanfictionEt si Pedro Pascal n'était pas une personne heureuse et bonne comme dans les médias?Et si il avais besoin de parlez a quelqu'un?