Tome 1: Le trône solaire

Chapitre 6

Iris

Nous étions à bord des deux carrosses royaux de Soluna, j'étais en face de ma sœur qui depuis ma décision regardait le paysage de Paradia défiler devant ses yeux. A ses côtés il y avait Nathan qui regardait les actualités sur son téléphone holographique et à mes côtés Alarik lisais un livre d'aventure sur sa liseuse. Je ne savais pas comment faire pour enlever le malaise qui planais dans notre véhicule, j'étais certaine qu'il y avait plus d'ambiance dans l'autre carrosse avec les pirates et les chevaliers. Regardant à mon tour le paysage défiler devant moi. Panneau publicitaire holographique, des maisons typer ancien qui était recouvert de modernisme et de technologie ; la foule nous saluais quand nous passâmes devant eux répondant à leur appel par de petit salue de la main. Je remarquais que Lys c'était appuyer sur sa banquette le visage pâle transpirante à grosse goute, essayant coûte que coûte de se cacher elle respirait fort et rapidement.

— Lys...

— Ne dit rien il faut juste qu'on parte d'ici au plus vite. S'expliqua-t-elle tout en serrant fermement le rebord de la fenêtre, essayant de fusionner avec la banquette. Nathan leva son regard de son téléphone et prit la main de Lys emmêlant ses doigts aux siens. Je rougissais en voyant ceci, je rêvais de faire de même avec mon majordome, qui était malheureusement obnubiler par son roman. Gêner je détournais la tête profitant du paysage et écoutant d'une oreille distraite les remontrances de ma sœur et les blagues et rires de Nathan. M'apaisant de ce moment de calme et de paix comme si nous ne nous étions jamais quittés, je fermais les yeux me laissant bercer par les secousses du carrosse.

Des secousses plus fortes me réveillais, j'ouvrais les yeux en vitesse et regardais la personne qui faisait ça. Alarick était légèrement au-dessus de moi, souriant doucement quand il vus mes yeux ouverts.

— Majesté nous sommes arrivées au bois des elfes, je me suis permis de donner l'adresse de chez moi pour faire quelque économie...

— de chez toi ? il acquiesça avec un sourire timide, moi je le contemplais étonner je ne savais pas qu'il venait de ce clan ! discrètement je jetais un œil au niveau de ses oreilles et remarquait qu'elle n'avait pas le bout pointu. Il n'avait pas non plus les cheveux verts de différent ton, peut-être par relief mais cela était très discret. Je pense qu'il l'eu compris car il souriait à présent des yeux malicieux montrant mieux son oreille.

— effectivement, je suis un métis mon père est un elfe moyen et ma mère était une sorcière. Mon cœur se mettait à battre à toute allure.

— était ? Il me tendait sa main m'incitant à descendre tout en affirmant le était, mon cœur se serrais devant cette révélation. Je prenais sa main me laissant me conduire en dehors du carrosse. Une maison à l'allure de pavillon était remplie de plante sur le toit et le jardin était fleuris. De multitude couleur s'harmonisais avec le cadre et les murs blanc, un homme grand au cheveux vert d'eau discutais avec ma sœur et les trois pirates qui l'accompagnais. Je prenais un petit temps pour contempler le père d'Alarik, tous deux avaient la même forme de visage à peu près la même taille. Je voyais que tout quatre parlaient avec entrain, Nathan lui était avec les autres chevaliers à retirer nos affaires. Je m'approchais avec mon majordome rejoindre son père, qui nous accueillais avec un sourire chaleureux. Alarik pris son père dans ses bras et un pincement au cœur me prit quand je voyais à quel point tous deux étaient proche. On nous invita à rentrer et je regardais ou avait vécu l'homme que j'aimais, dans l'entré il y avait quelque photo accrocher. Une douce odeur de fleur se diffusais dans la maison et au fur et à mesure que j'avançais je regardais le salon, une cheminer était au milieu de la pièce et au-dessus de celle-ci une télé holographique était posée diffusant une émission de cuisine. Les murs étaient en pierre donnant du charme à la pièce. Deux fauteuils et un grand canapé était devant la source de chaleur ou deux petites tables en bois était disposer entre ou des lampes était posé dessus. Quelque meuble était dans la pièce contre certain mur et sur l'un d'eux, un tableau d'une femme sublime aux long cheveux noir trônaient. Elle avait un visage souriant accentué par ses yeux de couleur chocolat qui lui donnait un air doux. Sa robe était de couleur bordeaux à manche longue ou une lune argentée était brodée en haut du buste. Elle portait une couronne en argent tresser comme si c'étaient des branches serties de pierre rouge.