𝑁𝑜𝑠 𝑎̂𝑚𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑖𝑒́𝑒𝑠

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Kaïs :

On était à Nice et là trajet aller être long même si je rouler à 300 mais bon j'allais pas là laisser comme ça en pleurs loin de sa grand mère.

Moi : Viens je t'amène

Elle : Quoi...tu peux vraiment....

Moi : Bien sur je peux ta cru j'allais te laisser comme ça

Elle a essuyer ses larmes et j'les pris par la main on est descendu à ma voiture.

Moi : J'passe mettre le plein et on trace

Nina : merci w'Allah

Elle a dit ça tout doucement.

Ça faisait bientôt 3h qu'on roulait elle voulait pas que je m'arrête parce qu'on allait perdre du temps.

Nina : Faut que j'appelle Mehdi

Mehdi : « Allô ? T'es où ? »

Nina : Jvais a Paris la voir

Mehdi : « T'es parti avec qui ? »

Nina : Kaïs

Mehdi : « T'inquiète pas ça va aller... »

Nina : Non ça va pas aller Mehdi j'veux pas qu'elle parte...

Elle s'est remise à pleurer, j'lui ai pris la main.

Mehdi : « J'viendrai demain moi »

Nina : D'accord...

Mehdi : « Pleure pas Nina »

Elle lui répondait plus.

Mehdi : « Envoi moi un message dès que vous êtes arrivé c'est bon ? »

Nina : Oui d'accord

Elle a raccroché.

Jlai regardé mais elle avait le visage retourné vers la vitre.

Moi : Ohh

Nina : Mhh

Moi : Regarde moi

Nina : Je sais pas si jvais tenir

Elle me regardait en disant ça.

Moi : Comment ça ?

Nina : J'veux pas qu'elle meurt Kaïs

Elle disait ça avec la voix qui tremblait j'avais envie de m'arrêter et de la serrer dans mes bras comme un fou.

On a fini par arriver à Paris vers 4h du matin. Tout était fermé j'ai direct tracé à l'hôpital.

Nina est sorti de la voiture en vitesse elle voulait courir mais avec le temps de trajet qu'on venait de faire sans s'arrêter elle arrivait à peine à tenir debout.

Jla tenait par le bras.

Moi : Viens

On est entré dans l'hôpital et on est aller à sa chambre.

On a trouvé quelques membres de la famille de Nina qui était endormi sur les chaises devant la chambre, quand ils nous ont entendu y'a son oncle qui s'est réveillé.

Son oncle : Ta pu venir

Il a prit Nina dans ses bras, elle avait encore des larmes qui coulaient.

Y avait sa cousine Amel, la voilée qui s'est levé.

Amel : Pleure pas ma vie, elle ira au Paradis insh'Allah

Elles se sont fait un câlin.

Bref on a attendu au moins 3h avant de voir le premier médecin arriver.

Le médecin : Vous êtes tous des membres de sa famille ?

Son oncle : Oui

Le médecin : Bien alors d'après les derniers diagnostic madame ****** était atteinte d'une infection pulmonaire et sachant qu'elle est âgée, son système immunitaire n'était pas assez puissant..

Son oncle : Ça veut dire quoi plus concrètement ?

Nina tremblait de partout elle me serrait la main yper fort.

Le médecin : Madame ***** est en phase terminale je suis désolé.

A partir de là c'était le KO, l'oncle de Nina ne comprenait pas pourquoi les médecins n'ont rien pu faire pour la guérir, sa tante s'est réveillé et est entrer dans la chambre avec Amel, Nina les a suivi.

Jsuis entre moi aussi, sa grand mère était allongé sur le lit d'hôpital, on aurait dit qu'elle dormait.

Nina s'est effondré elle a pris la main de sa grand mère elle arrêtait pas de l'embrasser. J'étais choqué ce jour-là c'était la première fois que j'la voyais autant détruite. Elle pleurait tellement de toutes ces forces qu'elle criait.

Amel était à côté d'elle en train de la tenir.
Sa tante pleurer aussi en récitant des sourates, et son oncle n'arrêtait pas de passer plein de coup de fil.

Jpouvais rien faire, jla regardait en train de pleurer, Selim était la aussi, son frère était pas encore arrivé.

Nina : J'ai même pas pu lui dire au revoir...

Elle a dit ça tout doucement dans les bras de Amel en pleurant, w'Allah si j'aurais pu j'lui aurait ramener sa grand mère.

J'suis sortit de la chambre, j'me suis assis sur les chaises devant, j'ai vue plein d'autre personne arriver.

Son oncle : C'est trop tard mon frère

Il a fait un câlin à un autre homme qui venait d'arriver ça devait être un autre oncle à Nina et donc un fils à sa grand mère.

Ils sont tous rentré dans la chambre et moi j'étais là à les regarder pleurer.
Sah Nina avait l'air d'être la plus détruite.