Chapitre 4

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Assis à la table devant moi ce tient ma mère et mon père, face à face à leur place habituel, à coté de mon père ce trouve un homme environ du même âge, la cinquantaine, habillé comme si il allait au bal. A coté de ma mère ce tient une autre femme, je pencherais pour la femme de l'homme en face d'elle car ils doivent avoir le même âge, bien que la femme face plus jeune. Et à coté de cette femme, ce trouve... Elle putain, mais qu'es qu'elle fou ici ? Comment elle connait ma famille ?

Dans ma tête, une multitude de questions ce bouscule, et je doit m'assoir en face d'elle, c'est quoi ce merdier ? Je reste figé et la regarde, ce n'est pas comme lors du combat, la j'ai plus le temps et la concentration de la dévisager. Et je la trouve encore plus splendide que l'autre soir, c'est cheveux ne sont pas blond mais châtain claire, ils sembles lui arriver au milieu du dos et sont lisse, sont visage est fin et son teint rosée, ses lèvres sont pulpeuse mais sans paraitre vulgaire. Et putain de merde ses yeux, d'un vert émeraude éclatant et ils brillent d'une lueur d'intelligence que je n'avais vue chez aucune autre fille.

- Mais qu'es qui es arrivé à ton visage ? me demande ma mère me sortant de ma rêverie.

Merde depuis le combat je n'avais même pas pris le temps de me regarder dans un miroir, un bleu doit orner ma joue gauche.

- Heu comme hier soir j'ai un peu bu, en allant me coucher je me suis pris une porte en pleine gueule, c'est drôle hein, j'ai balbutié en me frottant la nuque.

- Oui c'est très drôle en effet, ironise mon père en bout de table.

J'assassine mon père du regard et m'apprête à répliquer mais ma mère ne m'en laisse pas l'opportunité et me convi à m'assoir, ce que je fais, mais je suis très mal à l'aise, et si cette fille décide de balancer en racontant tout ce que je fais en soirée et pourquoi j'ai ce bleu sur le visage, je la démolie sur place, malgré sa beauté inégalée. Ma mère semble remarquer que moi et cette fille semblons un peut mal à l'aise et décide de briser la glace :

- Au juste Leo je ne vous es même pas présenté, Lola je te présente Leo et Leo je te présente Lola, elle et ses parents ici présent vienne d'emménager au bout de la rue, son père, Robert travaille dans la bourse international, il voulait pouvoir inscrire Lola à la meilleurs université de l'Etat en matière de Gestion et Economie, c'est pour cela que demain tu lui feras la visite du site.

Je ne sais plus quoi répondre, c'est vrai qu'elle est hyper bonne mais ce n'est pas mon style, c'est une fille de riche, fayote et lèche cul, et très certainement coincé en plus. Je hoche la tête et remplis mon assiette à ras bord de tout ce qui ce trouve sur la table, la fin du repas ce déroule dans des discutions de pluie et du beau temps et nous pour quelques regard mal assurés.

Il est l'heure que nos invités rentre chez eux, je lâche un soupire bruyant ce qui me vos un regard noir de mon père, je sert la main à cet homme prénommé Robert, et embrasse sa femme qui elle s'appelle Sophia, malgré que ce soit des richards, ils ont l'air plutôt sympa. Mais vient le moment ou je doit dire au revoir à Lola, cette fayote de m'inspire rien de bon, que les autres puissent me voir avec demain risque de ruiner toute ma réputation que j'ai mis si longtemps à concevoir.

Malgré que je lui face l'une des bises les plus mal assurée et des plus rapide, j'ai pus ressentir la chaleur de ses joues et sentir l'odeur de ses cheveux, putain ils sentaient... L'amande.

J'ai eu le temps de sentir l'odeur de ses cheveux, car au moment d'embrasser l'autre joue, elle est resté quelques secondes près de mon oreille pour me chuchoter quelque mots :

- Alors on ce sent mieux hein une fois qu'on à vomi, me murmure-t-elle avec il semblerait un sourire malicieux sur le visage.

Elle s'éloigne et passe la porte d'entré suivie de ses parents, je reste figé, merde comment elle sais ça bordel, es que c'est elle qui à nettoyé et qui ma mis au lit ? Je reste les yeux fixés sur la porte lorsque j'entend le moteur puissant de leur Audi démarrer puis s'en aller. Sans adresser un mot à mes parents je monte dans ma chambre et m'allonge dans mon canapé, j'allumerais bien ma télé, mais mon esprit est trop occupé pour la regarder. Demain je devrais mettre les choses au claire avec elle, et pourquoi cette lèche-cul de riche de Lola me parle comme ça ? Putain et l'odeur de ses long cheveux était enivrante, ses yeux, d'un vert si intense pourraient faire fondre la glace. Putain je ne doit pas m'attacher à une coincé pareille, elle me ferait trop chier, demain il vas falloir que je mette mes distances. 

Sans m'en rendre compte, je m'endort avec une seule chose en tête, son visage.


MERCI D'AVOIR LU CE CHAPITRE, J'ESPERE QUE L'HISTOIRE VOUS PLAIS N'HESITEZ PAS À LAISSER UN COMMENTAIRE POUR DONNER VOTRE AVIS OU DES CONSEILS MERCI.

Une seule raison de me battre, ElleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant