Career Suicide FR || Bill Kaulitz

Freiheit 89 //3

Et puis à un moment donné, devenir des accouchements tardifs qui travaillent Tout le reste est absolument inacceptable à notre époque.

Quand j'imagine que ma mère était toute seule, derrière le mur en Allemagne de l'Est, dans cette situation et a choisi des jumeaux, je me demande sérieusement comment elle a pu être si courageuse de le faire seule !

Aujourd'hui, je sais qu'elle était tout simplement naïve.

Après n'avoir passé que sept heures de travail et neuf autres femmes dans une salle d'attente de travail à la Umschlagbahnhof, elle a été transférée dans la salle d'accouchement « intime » à trois femmes peu de temps avant notre naissance et a attendu derrière sa cloison que cela commence enfin. Tom, mon frère jumeau identique, a sauté dans les mains de la sage-femme à 06h20. En revanche, j'avais d'autres plans : de l'espace, tant d'espace - je me suis d'abord tourné dans le ventre de maman, bien sûr dans la mauvaise direction pour le rendre aussi difficile que possible pour tout le monde - et je me suis immédiatement étendu pour profiter vraiment de l'espace nouvellement acquis. Avoir de la place pour moi me donne encore aujourd'hui un sentiment de sécurité et de liberté. Cependant, la magie de cette liberté n'a duré que dix minutes avant qu'une main coincée dans des gants en caoutchouc ne me prenne et ne me tire à la lumière de force comme un veau avec la tête déjà bleue sur les pieds.

Nous étions donc minuscules, quatre semaines trop tôt, dans les bras de ma mère, qui n'avait ni plan ni véritable séjour pour nous trois. Au lieu d'un grand amour ou de la famille, le lendemain, la meilleure et unique amie de maman, Heike, a éclaté dans la chambre d'hôpital. Dans les bagages, des vêtements frais pour Ma et quelques jolies petites barboteuses pour Tom et moi.

C'était ce genre d'artiste-Eso-briée cool et éloquent - un peu &ko, un peu de fantaisie, toujours un peu sec et un peu arrogant.