CHAPITRE 4

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❄️

COLLEEN

Dans la voiture, mon père me raconte tous les ragots, que je dois rattraper.

Antoine et moi, nous raffelons des potins et plus c'est scandaleux et plus le divertissement est incroyable.

Pour le plus grand malheur de Gabin, qui lui préfère que tout le monde s'occupe de leurs oignons.

J'écoute également les explications de mon père, de comment il a soigner un perroquet, qui avait le bec fendu. Pauvre bête.

Mon père a toujours était l'ami des animaux, je me souviens qu'à chaque balade en forêt ou en bord de mers, lors de nos vacances.

On récupérait toujours des bêtes blesser, qu'il  soigner, pour les relâcher dans la nature par la suite.

Cela me pincer toujours le cœur de les voir repartir dans la nature, que ça soit un crabe ou un renard.

Ce n'est pas pour rien qu'Artémis est l'une de ses déesses patronne.

Pour le coup, nous ne sommes pas comme les autres même quand il s'agit de religion : Païen du panthéon grecque.

C'est par la vitre du véhicule, que j'aperçois la ville de mon enfance, je l'observe d'un œil nouveau.

Je ne suis plus la fillette qui se fessaient marcher sur les pieds. Je ne suis plus la jeune femme, qui se fessaient renverser du yaourt à la fraise dans les cheveux.

Sale époque...

Alors oui, je suis toujours aussi timide. Je ne parle toujours pas énormément même avec la langue des signes.

Cependant, je suis la première à dire "crétin " quand il le faut.

Les trajets en voiture cela ma toujours apaisée, j'aime être en voiture et me laisser guider.

Conduire n'est pas pareil, j'ai le permis mais je préfère éviter de conduire.

Puis cela ne me met pas en confiance, quand je vois le langage vulgaire de Gabin refaire surface face aux autres automobilistes. 

Nous ne sommes pas en France, voyons !

Je pense que nous avons tous un parent comme ça,  irritée dès qu'il est au volant. C'est fatiguant.

— Je connais quelqu'un qui va être content de te retrouver à la maison.

Je sais parfaitement de qui parle, Gabin. Nul d'autre que mon gros chat roux, Noisette. Qui m'attends depuis bien trop longtemps.

Ce gros matous a erré pendant des jours, voir des mois dans la rue, seul sans famille.

Exactement comme moi, à l'époque. Je me souviens parfaitement de cette journée pluvieuse, où je l'ai trouvé abriter sous un carton près de notre maison.

Il était là , seul, abandonné et si mignon que j'ai craquer. Et je l'ai ramener à la maison mais en cachette.

Antoine a failli faire une crise cardiaque en voyant ce chat "dégout " mouiller comme un rat, dans la maison.

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⏰ Dernière mise à jour : Feb 21 ⏰

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