CHAPITRE 1

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Collen 14 ans ; Aris 15 ans .

COLLEEN

Je commence à en avoir marre de me refugier dans les toilettes pour nettoyer se foutus yaourt glacé, que Camellia ma encore mis dans les cheveux.

Je refuse de croire que mes cheveux blancs comme neige. La dégoute autant pour qu'elle les colore avec son yaourt à la fraise.

Depuis bien trop longtemps, j'ai appris à me cacher des autres pour survivre, baise la tête, ne regarde pas les autres, hoche la tête pour dire "oui" ou "non".

Silence.

— Pourquoi, tu l'as laisse faire ?

Je me fige à cette voix que j'aime, mais qui m'agace tant. Ma tête toujours pencher sur le lavabo, je continue à frotter mes cheveux. Je hausse les épaules, pour toute réponse.

Quand, je me retrouve face à ses yeux verts, je comprends qu'il ne rigole plus avec moi. Je ne comprend toujours pas, pourquoi il réagit comme cela.

Qu'est-ce qu'il le retient avec la fille silence ?

Elle n'en vaut pas la peine, signe-je avec mes mains.

Tu crains, putain, Colleen !

Pour toute réponse, je montre mon majeur. Et, je me reconcentre pour faire partir cette odeur de fraise de mes cheveux.

J'aimerais tant hurler vider mes poumons de son air, mais non je suis muette.

La putain de fille silence.

Pendant, mon enfance on m'a tellement donné de nom diffèrent, que je ne sais même plus, qui je suis finalement. 

Les gens sont si stupides !

Honnêtement ça server a quoi de changer de trottoir comme si mon mutisme était contagieux.

Après tout pour eux, je suis la fille qui ne parle pas et qui a un an d'avance sur les autres. Une aliéné, dans cette ville de bourge.

Ça ne fait pas très aesthetic dans cette ville de riche, qui ont comme seule préoccupations : je n'ai pas le dernière iPhone à la mode, ou bien maman et papa ne m'ont pas offert le nouveau sac Prada .

Une fois que la sonneries retentit, je rejoins vite mon casier pour prendre mes livres pour ensuite me rendre en histoire.

Évidemment, qu'avec mes cheveux mouiller, je fais mauvaise impression, le professeur me juge d'un œil mauvais. Mais ne fait aucun commentaire.

J'écoute le cours du début à la fin, du moins c'est ce que je croyais, or quand le prof tape brutalement son gros manuel sur ma table.

Je constate que je me suis encore une fois égaré dans mes pensées.

Je suis désolée, signe-je précipitamment.

— Miss Biidan, je vous ais poser une question, m'interroge se grognon de prof .

— Vous pouvez répéter ?

— On ne peut pas s'avoir exactement combien, il y'a eu de victimes pendant la guerre d'indépendance, Monsieur Bauer.

— Bien Marshall, mais la prochaine fois éviter d'avoir trente minutes de retards. Et ne voler plus au secours à votre camarade !

— Vous savez monsieur, je suis une âme galante ! J'aide les demoiselles en détresse, dit-il en battant des yeux comme un pauvre chien battue.

— Allez plutôt aider votre chaise à se réchauffer, à votre place jeune homme !

Le temps que ce cirque s'arrête, je garde mon nez plonger dans mon manuel. Une fois que le professeur trouve sa nouvelle victimes de la mâtiné.

Je me retourne contre cet abrutis pas fini !

Un clin d'œil de sa part et un " il ya pas de quoi ", qui vient de signer d' un air si provoquant.

Que cela me donne une envie folle, de lui mettre une bonne raclé. Oui, voilà une bonne gifle dans sa gueule de mannequin à deux balles.

Je ne sais toujours pas, si je hais ce type ou s'il me fascine...

Ou peut-être bien un peu les deux ?

Aucun doute, sur le fait qu'il m'énerve.

Comme aucun doute, qu'il me fait un certain effet avec ses yeux sombre.

Aris Marshall, le diable en personne ! Cependant, je le vois comme mon chevalier noir, qui persiste à me sauver la mise à chaque occasion.

Dans la légende urbaine de Bovina, les Marshall sont les descendant de Lucifer. Alors que moi, je vois juste un mec perdu et instable.

Très instable même !

Aucun lycéen réfléchit ne s'approcherait de lui... Heureusement pour moi, je suis la fille la moins responsable de cette planète.

Je compte bien le percer à jour, cet Aris Marshall !

Crétin !

Silence Où les histoires vivent. Découvrez maintenant