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📖L

Dimanche, donc demain nous retournerons à nos activités quotidiennes, 6 jours depuis que nous avions fait cette farce aux autres et ils nous ont menacé mais nous leur avons menacés aussi avec les différents clichés que nous avions pris.
Je prends le cahier d'économie et le met dans mon sac avant de le fermer , j'ai fini de tout ranger pour les cours de demain, il ne me reste que 3 ans encore pour enfin pouvoir trouver un travail, mais pour tout ça faudrait d'abord avoir de bonnes notes, donc c'est pourquoi j'étudie a fonds là.

Un bruit de la chambre d'en face attire mon attention, c'est comme si que quelqu'un était tombé .
Bon peut-être que c'est Alli et Adam dans leur ébats sexuelles . Mais je vais quand même aller voir au cas où. 
Je me lève et frappe à la porte m'attendant a une réponse sanglante de la part de la personne a l'intérieur mais au lieu de ça aucune réponse.
J'ouvre donc la porte.
Pitié faites que je n' interromp rien .
Mon cœur loupa un battement en voyant Adam allongé par terre .
Je  m'abaisse rapidement à son niveau.
Il était conscient.
- Adam , que se passe t-il ?
- Aide moi à me coucher, s'il te plaît. Me demanda t-il.
         Je l'aide et je m'assois sur un fauteuil en face de son lit.
- Que s'est-il passé Adam, pourquoi tu te trouvais par terre ?
         Il évita ma question et me demanda gentiment de prendre pour lui des médicaments , je l'aide et lui donne de l'eau et les médicaments qu'il boit et se recouche. 
   Je me rassoids.
- Je...je vais te laisser te reposer . Dis-je en me levant pour sortir car cette chambre me rappelle la première où nous avons dormi ensemble.
Mais c'est sans façon puisqu'il me retint par le poignet.
- Mais qu'est que tu fais ? Demandais-je en regardant sa main qui tenait mon poignet .
- Même si tu...tu ne dors pourrais tu te coucher prêt de moi...enfin c'est pour si je...j'ai besoin d'un truc....enfin si si t'es occupé tu peux laisser tomber..je vais...
Je l'interromps.
- Je vais rester , mais à une condition.
- Laquelle ?
- Tu me dira ce qui se passe, est-ce que tu es malade , d'accord ?
            Il souffla et répondit :
- D'accord.

Je me déchausse et entre sous la couette, mon cœur se serra un peu et je me dis que si il me repousse se sera la dernière fois que je lui apporterai mon aide , je mettrai tout de côté,  tout ce que je ressens.
Je sentis sa respiration qui est devenu lente , et sa main qui entoura ma taille me provoqua mille et une sensation .
Je respire et me retourne doucement pour l'observé , son visage était bizarrement marqué par la douleur , ses cils étaient un peu long , j'avais même pas remarqué, et ses lèvres m'appelaient toujours autant. Je continuais a détaillé son corps et petit à petit je finis a mon tour par dormir .

...

...

...



Toute la fatigue que j'avais s'était envolée , je ne ressentais plus cette chaleur apaisante , je me retournai et le lit n'avait que moi , il sortit de la douche avec une serviette autour de la taille , aïe impression de déjà vu .
Je me levai pour partir , ne voulant pas ressentir des choses pour après être repoussé , alors que je touchai le poignet de la porte pour sortir un ordre me fit rester planter dans la chambre.

- Tu ne sors pas d'ici . Dit la voix grave de Adam .
           Je me retournai.
- Pardon ?! Je ne reçois pas d'ordre de toi Adam .
              Il secoua ses cheveux .
- Tu m'as bien dit que tu dormirais avec moi a une condition,  non ?
- Oui et ?
- Je voulais te dire ce qu'il se passait,  mais si t'es si pressé de retourner dans ta chambre vas-y.
      Je roule des yeux .
- Je t'écoute. 
              Il pointa le fauteuil du doigt et je m'installe et il s'installe en face de moi sur le lit .
- Enfaîte ce n'était rien de grave, ca arrive souvent, je ne sais pas comment désigner ça mais parfois j'ai des maux de tête intense qui peut me faire tomber par terre a n'importe quel moment, et les comprimé que j'ai bu m'aidais.
               J'ai cru que c'était beaucoup beaucoup plus grave.
- Il faut faire attention d'accord. Dis-je doucement.
               Il prit mes deux mains et malgré que ses mains étaient froid je pouvais sentir une chaleur naître entre nos mains.

Seconde chance Où les histoires vivent. Découvrez maintenant