C'était un jour de pluie, un mardi pluvieux où tout le monde cours pour s'abriter, où tout les adolescent s'agglutinent dans les établissement pour ne pas être mouillé. Je n'échappe évidement pas à cette règle et apparemment toi non plus.
Nous étions tous agglutiner au même endroits, il y avait plus de six cent cinquante personnes et pourtant je ne voyais que toi, toi et ton magnifique sourire, toi et ton incroyable rire. Puis tu m'as regarder, une nouvelle fois. Je ne m'en plein pas, au contraire, je profite. Je profite de nos sourire, de nos regards qui se rencontrer, de notre connexion, infime soit-elle.
Tu es alors venue me voir. Avec certes des difficultés dû aux monde qu'il y avait mais quelque minutes plus tard tu te trouver en face de moi, après dix jours sans avoir était aussi proche physiquement, deux cents quarante heure pour être extrêmement précis. Et je ne peux pas le nier, être proche de toi m'a fait un bien fou, t'entendre me parler à été le meilleur moment de ma journée, te voir me sourire était un pure plaisir pour mes yeux, t'entendre rire à mes blagues était un pure plaisirs pour mes oreilles.
Puis à la fin de la pause tu m'as regarder de tes magnifique yeux vert et avec le magnifique sourire que tu as, tu as proposer d'aller dans un café. Je pense sincèrement que je n'ai jamais autant rêver de finir aussi vite une après-midi de cours de toute ma vie.
À la fin de l'heure je ne suis jamais aller aussi vite pour ranger mes affaire et sortir de la salle, mes amis eux ont été géniaux ils ont attendus avec moi et en te voyant arriver m'ont souhaiter une bonne fin d'après-midi et sont partit tout en me lançant des clin d'œil "discret".
En arrivant devant moi tu as juste pris ma main et tu t'es diriger vers le fameux café.
Tu m'as guidé dans toute la ville vers se café sans me lâcher une seule fois la main, à mon plus grand bonheur.
Arriver dans celui-ci tu m'as guider entre les personnes déjà présente pour nous faire s'asseoir et nous avons commencer à parler en buvant nos boissons que nous avions commander, un chocolat chaud pour toi et un thé vert pour moi avec deux macarons à la pistache chacun. Nous discutions tellement que nous sommes rester jusqu'à la fermeture c'est à dire vingt heures. Je t'ai ensuite raccompagné chez toi ne voulant pas te quitter tout de suite, voulant profiter de ta présence encore quelque minutes.
Je voulais encore profiter de ton rire rien que pour moi ne sachant pas si nous redeviendrons de parfaits inconnus le lendemain.