The Stand-in Fell Into Unemployment Crisis (FR) - Xiang Lugua (terminé)

Chapitre 9

30

Bien sûr, il n'y a rien de tout bon.

Le remplaçant fut content pendant moins de trois secondes lorsque le président est venu le chercher et a insisté pour qu'il s'assoie sur ses genoux pendant qu'il étudiait.

Président : « Vas-y, ne t'occupe pas de moi. »

Le remplaçant a presque cassé le stylo dans sa main, mais en y réfléchissant, considérez-le comme un surveillant.

Le remplaçant traita le président comme s'il était inexistant et se concentra sérieusement sur les questions d'examen.

Cependant, après quelques minutes, le remplaçant s'est arrêté parce qu'il n'arrivait pas à résoudre les questions de l'examen de mathématiques avancées.

Le remplaçant était généralement très patient, mais le temps passait, et étant assis sur les genoux de quelqu'un d'autre, avec cette personne le fixant constamment, il ne pouvait s'empêcher de se sentir agité.

Il ne pouvait plus rester assis en place et envisagea de demander au Président de partir.

Il pensait qu'il pourrait peut-être aider le Président une fois de plus, lui permettant ainsi de plonger plus tôt dans le temps des sages (NT :s'endormir), lui offrant par la même occasion quelques minutes de repos pour son propre esprit.

Cependant, le Président a pris l'initiative : "Tu ne sais pas résoudre ce problème ?"

Le Président prit le stylo et commença à résoudre le problème, vérifiant même la réponse qui s'est avérée correcte.

Le Président : "Après tout, je suis diplômé de l'université A."

C'était la première fois que le remplaçant regardait le Président avec des yeux admiratifs, le Président était satisfait.

Le remplaçant était également satisfait. Il s'avérait que son tuteur était à ses côtés.

Des cours particuliers personnalisés, et il était même payé pour cela.

Le Président le remboursait plus qu'il ne gagnait.

31

Les deux ont étudié toute la nuit, s'effondrant tous deux d'épuisement à cinq heures du matin.

Cependant, à six heures, le réveil a sonné, le Président s'est levé brusquement pour éteindre la sonnerie, prêt à casser le réveil, mais le remplaçant l'a arrêté.

Le remplaçant : "Pourquoi es-tu encore ici ? Ce n'est pas bon si monsieur X te voit !"

Le Président : "Laisse tomber."

Le remplaçant : "Comment peux-tu dire ça ? Rentre vite dans ta chambre!"

Le Président : "Alors, que vas-tu faire ?"

Le remplaçant : "Ne t'occupe pas de moi, je peux me débrouiller tout seul !"

Ainsi, le Président, qui n'avait dormi qu'une heure, a été brusquement expulsé du lit.

Le Président referma la porte avec un sourire en coin. Se débrouiller tout seul ? Le petit remplaçant était toujours aussi têtu. En pensant à lui- même et Clair de Lune blanc partageant le même lit, il pourrait être difficile de dormir seul.

Derrière la porte, le remplaçant, enfin capable de dormir seul dans un lit double, s'est endormi profondément en une seconde.

32

Le matin à sept heures, le remplaçant a commencé à travailler.

Le Président était un oiseau de nuit, il restait généralement au lit le matin, se levant au plus tôt à sept heures quinze, parfois près de sept heures et demie pour prendre le petit déjeuner. Si ce n'était pas un jour de flemme où il commandait à manger, le remplaçant préparait généralement le petit déjeuner pendant ce temps.

Cependant, à ce moment-là, Clair de Lune blanc était déjà dans la cuisine.

Clair de Lune blanc était plein d'énergie, et sourit en le voyant : "Tu es réveillé ?"

Clair de Lune blanc faisait du café, voyant le remplaçant s'apprêter à ouvrir le réfrigérateur, il dit : "Je vais préparer le petit déjeuner aujourd'hui."

Le remplaçant se précipita pour dire « je suis un subalterne, laissez-moi m'en occuper. » Clair de Lune blanc répondit : "Il a travaillé tard hier soir, il a besoin de manger quelque chose de nutritif aujourd'hui."

Clair de Lune blanc sortit des avocats, du pain complet, des œufs et du yaourt ; le remplaçant l'avait vu sur des photos en ligne, il savait que l'autre préparait un petit déjeuner occidental haut de gamme.

En pensant qu'il proposait au Président pour le petit déjeuner soit des restes du jour précédent, soit des œufs brouillés, soit même des plats à emporter, le remplaçant ressentit soudain une pointe de culpabilité.