April
Je déambule dans les rues, apaisé par le calme du soir, le vent frais de cette nuit d'hiver.
Le froid m'enveloppe des frissons me parcourent le corps, je regarde l'heure sur mon télèphone 23h30.Je suis a quelque mettre de la maison mais je suis à deux doigts de faire demi-tour, je ne veux pas rentrer j'appréhende déjà les remontrances de mes parents et ce que je vais devoir subir à nouveau mais dans une semaine je partirais pour l'universités je pourrais enfin soufflais . arriver devant la maison je franchis la porte et une odeur de lavande emplit mes narines ma mère avait l'habitude d'en parfumer la maison. a mon arrivée mon frère Elyo sur le canapé du salon me salue d'un signe de tête, je porte encore mon uniforme une jupe qui m'arrive a mis cuisse dans les couleurs maronée et une chemise légère ainsi que mon blazer mes parents m'ayant surement entendu font irruption dans la pièce ma mère le visage rouge de colère me fixe de ses yeux plein de dégoût
- tu rentre seulement sale gamine
Son ton est empli d'irritations, je sais déjà ce qui m'attends et rien qu'à cette idée mon estomac se tord et je n'arrive pas a parler je ne peux pas me défendre j'ai comme l'impression que l'on m'enserre la gorge je n'y arrive pas. soudain une douleur me brûle le visage, elle m'as giflée, puis tout s'enchaine un coups poings dans le ventre suivis de coups pieds dans les côtes et l'estomac la douleurs et atroces elle ne touche jamais le visages pour ne pas que les personnes ce doutes de ce qu'il se passe derrière la portes quand je ne me fit pas à ses ordres, mon père spectateur de la scène ne sille pas et reste figer sur place. Il ne m'aide pas je l'ai supplier du regard tant de fois mais ils détourne les yeux j'ai finis par perdre espoir de pouvoir compter sur lui la seul personne sur qui je puisse compter ses moi même donc je reste sur le sol à enchaîner les coups prient pour que ce ne soit pas trop douloureux demain. Parfois j'ai l'impression d'être son sac de boxe sur lequel elle puisse se défouler à la moindre des occasions.
Après 10min de souffrance elle s'arrête enfin, j'essaye de me relever mais la tâche se révèle plus difficile chaque mouvement me donne envie de vomir tellement la douleur est horrible je me sens impuissante face à elle. après qu'elle est fini je monte dans ma chambre sans adresser un regard a ma mère je ne comprendrais jamais comment il est possible de faire une chose pareil a la chair de sa chair je suis sa fille quand même. je ferme la porte à clef et essaye d'étouffer les sanglots qui se multiplient dans ma gorge. je vais prendre une douche pour nettoyer le sang qu'il me reste sur le corps. Je pense déjà aux hématomes qui apparaîtront d'ici demain. L'eau chaude réussit à m'apaiser, je retourne dans ma chambre enfiler mes écouteurs et m'endors en écoutant The Lazy Song de Bruno Mars la seul musique qui arrive a me remettre sur pieds dans les moment les plus sombre.