03. un air de déja vu

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. ta souffrance est souvent le prix de sa joie.


Act .I


Chapitre. III


Après que la soi- disante dame Sarah ai fermé la porte derrière elle, je me décide à inspecter la chambre.

il y'a un dressing rempli de vêtements, en loccurence que des robes et des bijoux d'apparence.

quel interêt de garder une esclave dans une chambre pareille

La coiffeuse est pleine de produits de beauté, de parfums et de maquillages. Il y'a plusieurs sous-vêtements dans les tiroirs, la plupart sont encore embalés dans des cartons.

Je pousse un soupire ne comprenant reelement pas ce qui se passe vraiment, non seulement je ne sais pas qui est cet homme mais je n'ai aucune idée de la où je me trouve.

je me déshabille et me décide à prendre une bonne douche froide, la salle de bain faite de marbre est immemse et dans les tons bruns et blancs.

Je plonge les pieds dans la baignoire, l'eau est un peu trop froide mais aucune sensation que je ne connais pas. Une fois terminé j'enfile une serviette que j'ai trouvé propre dans le placard et j'ouvre le dressing.
Tout de suite, une odeur de parfum remplit l'espace, j'imagine que l'autre fille dont parlait dame Sarah a dû elle aussi les utiliser, elle a dû dormir dans ce lit et prendre sa douche dans cette même baignoire avant de mourir.

Je ne sais pas quel est ce sentiment qui me compresse la poitrine, j'ai toujours voulu me tuer mais je n'en ai jamais eu le courage ça me facilitera l'affaire si c'est lui qui me tue

Après tout mourir est le seul moyen pour moi de fuir cette vie miserable.


J'enfile un pijama en soi rose qui est légèrement trop grand pour moi mais peu m'importe.

Il fait très sombre dehors je ne sais pas quelle heure il est mais il est tant que je me repose, je n'ai pas fermé l'oeil de tout le voyage à cause de cet homme qui m'a fixé tout le long.

J'ai même encore l'horrible sensation que ses yeux sont posés sur moi

Je n'arrête pas de me demander ce qu'il pourrait me faire subir même si une partie de moi s'en fiche, je suis habituée à avoir mal.

personne ne peut faire pire que Fabio

Quand à la mort, il n'y a rien qui me rattache à cette vie pour que je lutte encore alors je ne vois pas comment cet homme aussi cruel soit il peut me faire encore plus souffrir


Je prend place dans le lit puis je me blottis dans l'epaisse couette grise en esperant trouvé un sommeil calme cette nuit.


*

Je n'arrive plus à bouger et à faire le moindres mouvements, tout autour de moi est sombre je ne perçois absolument rien

- À l'aide!!

J'essaie de bouger mes bras qui semblent écartés et accrochés à quelque chose en hauteur tout comme mes jambes avec le sol comme si mon corps formait un " X "

SLAVEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant