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Elle me fait un sourire et sort de la chambre pour me laisser me changer.Je me déshabille et prends ma douche puis je descends pour dîner puis je vais me coucher.......

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4h34

Je me réveille en sursaut  après avoir refait ce cauchemar, je reprends mes esprits et prends de l'eau puis je décide de prendre l'air comme à mon habitude. Je m'habille d'un gilet qui recouvre mon lege pyjama puis prends mes clés et me dirige vers ma voiture.
Je roule quelques minutes avant d'arriver au parc de la ville, je me gare puis descend. L'environnement était calme pas un seul bruit tout le monde dormait. Je marchais tranquillement dans les rues pour accéder au parc quand soudain j'entends des voix provenant d'une ruelle sombre je m'approche du mur et  étant mon oreille pour écouter

Homme: il est toujours pas arrivé

Homme2: putin il fou quoi il commence vraiment à me casser les couilles à être en retard

Homme: ta geule si il t entend on est mort

Homme2: moi je veux juste qui il prennent ses putins d armes qu on se casse d ici

Homme : j ai essayé de l'appeler mais il est injoignable

Homme2: orhh

Homme: tais-toi tu te rappelle comment a  fini l'un des n autre quand il a osé s'adresser à lui  comme ça

Homme2: t'inquiète pas de toute façon il est pas là

Après avoir entendu ces derniers mots je me dirige vers la ruelle opposée pour ne pas que l'on me voit quand soudain je me sens violemment projeter contre le mur

- aii putin!

Lui: ferme ta gueule sal fouineuse

Je lève légèrement la tête et me retrouve nez à nez avec l'homme aux yeux gris je me tétanise automatiquement en le fixant tu regard. Nos corps sont si proches je peux sentir son souffle qui s'accélèrent de colère, sa main est posée à quelques centimètres de ma tête tandis que son autre main  et poser sur mon épaule. Sa forte corpulence me prend au piège je  ne peux pas bouger. Il me maintient contre le mur.

- lache moi tout de suite qui t'a autorisé à me toucher

Lui: je peux aussi me permettre vu que tu es passé par plein d'hommes sal pute

- est-ce que tu t'entends parler, je sais pas qu'est-ce que tu as avec moi et qu'est-ce qui te fait croire que je suis une pute.

Lui: ferme ta geule , comment tu es habillé en culotte et soutif et t ose ouvrire  encore ta gueule

- mais tu est bigleux ou  quoi c'est un short et un débardeur et en plus j'ai un gilet de toute façon qu'est-ce que ça peut te faire ,je te connais pas tu me connais pas lâche-moi tout de suite

Lui: ta raison je m en bas les couilles que tu sois une pute ou une putin de cinglé de civilé , ce qui me préoccupe c est  qu'est-ce que tu foutais à cet endroit là à écouter

Une civilé ?

- je n'étais pas du tout en train d'écouter je ne vois pas de quoi tu parles je passais tout simplement

Il me regarde quelques secondes retire la main qu'il avait sur mon épaule pour la positionner sur mon cou en serrant de plus en plus fort il s'approche de mon corps pour pouvoir avoir une plus grande emprise sur moi puis me regarde dans les yeux il dit d'une voi calme mais glaçante

L'amour ne remplace pas les armesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant