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Quand j'arrive devant la porte je tente de l'ouvrir mais en vain, elle était fermée, alors je fou un gros coup de pied  sur la poignée qui se casse ,ce qui me parviens à ouvrir la porte, quand  je tombe nez à nez avec une scène qui fait monter en moi un dégoût et une rage immense.....

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L'homme se tenait en face de la femme tendit qu' elle se trouvait contre le mur apeurée, tous en lui déchirant le bas de sa robe se qui laisse apparaître légèrement sa culotte.

Ils se retournèrent vers moi surpris part mon entré

Homme: tu es qui toi ? Et qui t'a permis d'entré

Je m'approche de lui dangereusement, lui attrape la tête et l'enfonce violemment dans le miroir qui se brise ,puis je l'enchene de coups. Lorsque  je vois qu il est incapable de bouger je sors mon armes et le positionne entre ses deux yeux

Homme: je suis....desolé....je la .....laisserai tranquille.....promis

Je le fixe quelques secondes puis laisse échaper un rire nerveux

-tu te fou de ma geule! Si je n'étais pas arrivé tu aurais commis l'irréparable.....

Il eu un cilence de quelques secondes, ils me fixaient comme si j'étais un monstre. Je retire le cran de sécurité

- sal ordure

Homme: non désolé je ne.......

Apeine il eu le temps de finir sa phrase que je tire, son sang jicle dans une parti des toilettes et quelques goûtes atterrissent sur mon visage.

Je range mon arme puis me retourne vers cette femme, elle était enroulé sur elle-même la main sur la bouche, les yeux rouges qui laissaient apparaître des larmes  qui glissaient sur son visage. Je me lave les mains et me dirige doucement vers elle..

- ça va aller ,tout est fini je l'ai tué il te feras plus de mal

Elle lève progressivement la tête vers moi

Elle: mer...mercii

- pas de soucis.. mais il te voulait quoi?

Elle: je ne sais pas.... depuis le début de la soirée son.... son regard mal sain se posait sur moi jusqu'au.... moment où il m'a attrapé , il m'a menacé et m'a dit que si je criai ou me défendai  il me tuerai

Je la regarde avec tellement de tristesse et de haine envers cet homme que je ne trouve pas les mots pour la réconforter, je me contente de la serrer dans mes bras et de l'aider à reprendre ses esprits.

Elle: mais s'il te plaît n'en parle pas à mon grand frère ,pas un seul mot sur ce qui vient de se produire  je t'en supplie

Mais qui est son grand frère?

Je la regarde quelques secondes surprise par ses mots puis je lui  fais un signe de tête

- si ça peut te soulager je ne dirai pas un seul mot promis

Elle me sourit puis sèche les dernières larmes qui coulaient sur son visage puis nous nous relevons

- mais dis-moi tu t'appelles comment?

Elle: Rayana  et toi?

- Amira

Rayana: en tout cas je suis contente de t'avoir rencontré j'espère qu'on se reverra

Amira: j'espère moi aussi

Elle se dirige vers la sorti  lorsqu'elle ouvre la porte je m'aperçois que sa robe est encore déchirée

L'amour ne remplace pas les armesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant