A L'aube De La Vie [Recueil De Poème]

15

Savoir se séparer.

A l'aube naissant
Fu le temps,
De tous les changements.

J'ouvrais les yeux,
Avec un peu plus de feu
De me lever une fois de plus,
Une fois encore plus.

Je ne voulais pas y aller,
Je ne voulais pas me lever.
J'appréhendais le temps,
Le vent naissant.

Mon sourire s'élargissant tout de même, quand j'entendis le son des oiseaux.
Ces sons si doux, si beau,
En oubliant le cours des choses. Je n'allais pas oublier tout de même ?

Alors que Je rêvasser, Le son de hurlement envahissait les pièces au loin, des prières en moins.

La joie de vivre disparaissait avec le temps, avec le vent. Leur dispute s'enchaînent, leur mains se mêlaient, pas de la bonne manière.

Je ne pouvais rien y faire.
Rien ne pouvant arranger,
Rien pour changer le passé.
Je ne pouvais que observer faire.

Observer la façon dont mes géniteurs agissaient, 
Se tuer s'entre tuer,
Et pour quelque temps après se pardonner
Oh que je détester ces comportements.

Regarder une dernière fois mes géniteurs,
Mon corps tremblant de peur à terre,
Je ne m'apercevais guère,
Que je m'étais retrouvée auprès des fleurs.

Je ne supportais plus le son des hurlement,
Le son de melencolie
De prétendre encore s'aimer à folie,
Qu'il s'aime plus fortement.