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Quand J'ai vu ta peau
Magnifiquement chaud,
Quand J'ai vu tes yeux
De la même teinte les bleus.
Quand j'ai vu mes ailes,
Aussi belles, aussi laides.

J'ai compris.
J'ai compris que je m'attachais,
Que tu ne m'attendais.
Que je serais coincé,
Au rivage serais.

J'ai vu les chaînes,
Jai vu mes lèvres,
J'ai vu le nier.
J'ai vu le fait.

Quand j'ai vu tes cheveux,
Aussi noir, aussi loin,
Je plongeais,
Je me noyais.
L'eau me prenait.

Secoué, s'en aller,
Je ne voulais,
Mais tu ne me tenais,
Car tu n'y étais,
Tu ne me voyais.

Je voulais y aller,
M'approcher,
De ta peau chocolat,
De tes prunelles noires.

Quand j'entendis ton nom,
Mon ventre S'envole sans non,
S'émerveille de haut,
De te connaître un poile plus, oh non.

Tes sourires me donnent envie,
Me font revivre,
Me font plaisir.
Les miens te font rougir,
Sentir,
Le plaisir à la vie.

Mais quand je vis,
Le nombre de bougies,
Je me reveillais, mille fois,
Face à la vie.

Tout cela serais impossible.

A L'aube De La Vie [Recueil De Poème]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant