Chapitre 3 : période difficile

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Après cette altercation plutôt musclée, il me laisse tranquille. Sa façon d'agir me montre comment il ne me supporte pas et je ne sais quoi. Cette maison est tellement magnifique mais pourrie de l'intérieur avec ce mec putain !

- T'es m'a servante attitrée maintenant Rozalia !

- J'imagine que je n'ai aucune possibilité de négocier ?

- Non et c'est comme ça !

Il me fait chier celui là. J'ai tellement faim pffff, je me dirige dans la cuisine et me prépare des œufs aux plats. Valentino me regarde préparer à manger, me dévisage et souris.

D'ailleurs, ce sourire me fait tellement peur que j'ai eu le réflexe de me reculer, il est tellement imprévisible...

Il sort une assiette et la casse, putain il commence sérieusement à me les briser ! Quelques minutes plus tard, toutes les assiettes sont au sol complètement brisées.

Génial je peux pas manger tranquillement sans avoir un emmerdeur de première collé à mes basket !

Un soupir s'échappe de ma bouche puis essaye de ne pas marcher sur les bouts de verre et mange. Au final je ne sais même pas pourquoi je suis là...

- J'M'EMMERDE JE VEUX TIRER SUR TOI !

Je ne suis pas une cible encore moins SA cible, ça ne fait même pas une journée que je suis là qu'il veut que je meurt c'est génial !

Il m'attrape et me soulève comme un sac à patate, je n'ai même pas le temps de dire quoique ce soit et il m'amène au sous-sol.

Bien évidement je suis attachée avec des menottes et ligotée à une chaise. Je vois qu'il sort un flingue et le pointe sur moi, la peur et le stress commencent à monter.

Je le fixe avec un regard noir, lui me regarde en souriant c'est un mec complètement taré et cynique !

Deux balles sont tirées, il manque de me toucher de peu... Des larmes coulent sur mes joues mais je garde la tête froide, il continue de tirer.

Cette fois ci il change d'arme et prend des couteaux, bien évidemment il me les lance dessus.

Mon cœur bat si vite que j'ai du mal à respirer, un de ces couteaux se plante à côté de ma tête...

En un instant ma respiration se coupe instantanément, j'ai si peur mais je veux à tout prix le masquer.

Valentino continue de me lancer des couteaux puis prend un pistolet et tire au hasard.

La pression est tellement forte que les battements de mon cœur augmentent rapidement, je ne peux malheureusement pas bouger le cul, ni même me détacher.

- Putain t'es résistante pour une femme qui devrai être déjà morte.

- Ça t'étonne du con !

Je lui lâche toujours ce regard si froid et si sombre, Valentino se rapproche et prend ma tête entre ses mains.

Son regard est plus profond que d'habitude, ça me tracasse un peu, ça fait limite peur !

- DÉTACHE MOI CONNARD !
- NON mon ange.

De quel droit il ose m'appeler comme ça, surtout que c'est un gros con je ne sais même pas comment le décrire tellement qu'il est odieux !

My weakness Où les histoires vivent. Découvrez maintenant