|Silence

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La jalousie qui m'étouffe,
La peur et le doute qui se rajoutent.
Et dans mes oreilles,
Le silence.

Là debout, mais pas sommeil,
Ouais debout mais assommée,
Pas facile de me consoler,
C'est flou, flou.

Depuis le voile qu'y a sur mes yeux,
Toutes les couleurs, j'leur dis adieu,
Je pose mes mains sur tout ce que je peux,
C'est flou, c'est flou.

Dans le noir,
Ce silence.
Est-ce le bruit de mes épisodes de désespoir ?
Mes pensées font turbulence.

On me dit que ça va aller,
Mais si ça n'allait pas ?
On me dit que ça finira par passer,
Mais si ça ne passait pas ?

Dans le silence,
Je me répète que tout ira bien
Devant ce miroir qui me fixe avec nonchalance,
J'y crois un peu, c'est moyen.

La jalousie qui m'étouffe,
La peur et le doute qui se rajoutent.
Et dans mes oreilles,
Le silence.

Là debout, mais pas sommeil,
Ouais debout mais assommée,
Pas facile de me consoler,
C'est flou, flou.

Depuis le voile qu'y a sur mes yeux,
Toutes les couleurs, j'leur dis adieu,
Je pose mes mains sur tout ce que je peux,
C'est flou, c'est flou.

Dans le noir,
Ce silence.
Est-ce le bruit de mes épisodes de désespoir ?
Mes pensées font turbulence.

On me dit que ça va aller,
Mais si ça n'allait pas ?
On me dit que ça finira par passer,
Mais si ça ne passait pas ?

Dans le silence,
Je me répète que tout ira bien
Devant ce miroir qui me fixe avec nonchalance,
J'y crois un peu, c'est moyen.

Vous qui êtes si peu, à peine trois,
Promettez-moi que vous serez toujours là.
Dans le noir,
Je n'ai peur de rien, sauf de votre potentiel départ.

Et ce silence assourdissant
M'étouffe parfois, ou beaucoup.
Mais vos présences, comme un haïku,
Font taire mes doutes grandissants.

Pensées de nuit pour la Lune {Poèmes}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant