< la vérité est comme une opération chirurgicale >
. 𝐉𝐚𝐜𝐪𝐮𝐞𝐬 4:1
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La voiture continuer d'avancer malgré l'intensité des embouteillages
Abel concentré sur la route
Sincèrement? Il est beau quand il conduit , il a les sourcils légèrement froncés pour une fois , ses deux mains sur le volant , de temps en temps il en laisse une mais il fini toujours par remettre l'autre main
Je le regarder attentivement jusqu'à ce que je vois de l'ancre noir sur son bras droit en gros c'est un tatouage, il débute de sa main , je suis les trace avec mes yeux pour m'arrêter au niveau de ses coudes étant donné que c'est la que sa chemise est replié, c'est des dessin assé bizarre avec quelques lettres de l'alphabet mais ça reste bizarre
J'étais assise sur la banquette arrière avec mes courses à mes pieds , je pouvais juste voir son visage de profil, plus précisément sont profil gauche , ça barbe bien taillée elle est propre ça se voit d'ici , bon après je sais pas elle brille un peu , il en prend soin je suppose, je regarde sous sa barbe et oui comme je le pensais 0 boutons , son visage 0 boutons aussi , je cherche le moindre petit boutons mais rien , peut être parce que c'est que du côté gauche , ses yeux sont un peu , un pé tireuh , il a des petites vices au oreilles vraiment petite mais elles sont diamanté ce qui fait qu'elles sont assé remarquable , il avait coupé ses cheveux a plat , et ça lui allait bien , et —
Sasap- eh vas-y c'est bon !! Quel bail ?
Quand j'ai regardé son frère , il avait les mêmes traits, et presque la même forme d'yeux, mais bref
Abel - tu as dit qu'on te dépose ou déjà ?
Il m'as extirpé de mes pensées
- euh.. à.. à nguba
Abel - c'est où ça ? Dit il en me regarde à travers le rétro-central
- une fois que tu as dépassé le collège alfajiri et l'estonac c'est juste la
Abel - rire nerveux c'est quoi l'estonac ?
- je sais pas , fin je pense que c'est une école , j'ai pas vraiment chercher à savoir , continue juste tout droit et c'est bon
Il hoche la tête et se reconcentre sur la route
Dans le silence on a continué cette route avant qu'il n'arrive a destination pas devant chez moi mais devant le marché Là on entendait les convoyeurs crier: essence - nsoko - Carrefour , d'autre crier : place mulamba, ainsi de suite
- euh, tu peux me déposer ici , je vais continuer le reste de mon chemin à pieds
