𝐈𝐥 𝐂𝐚𝐩𝐨 (𝑨𝒖 𝒄𝒓𝒐𝒊𝒔𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒅𝒆 𝒏𝒐𝒔 𝒄œ𝒖𝒓𝒔)

Prologue

Dans une salle d'audience en Italie

— Accusé levez-vous. Ordonna le juge. Suite au accusations portées contre vous et suite aux nombreuses preuves et témoins que nous avons à votre encontre. Vous Maximiliano Di Mario avez été reconnu coupable des faits suivants:

°Viol, coup et blessures portés à l'intention de Clara Mancini

°Coups et blessures à l'encontre de Gaetano Casano

°Maltraitance et tentative de meurtre avec préméditation sur la personne de Clara Mancini.

— Suite à tous les faits présentés devant le tribunal, nous vous condamnons à une peine de quarante-cinq ans de prison ferme, sans possibilité de libération.

La décision du juge fut scellée lorsque celui-ci frappa son marteau, clôturant ainsi ce procès qui avait durer des semaines. L'homme à peine âgé de vingt-six ans n'avait plus la force de lutter. Il étaitloin d'êtrecoupabledece qu'on l'accusait. Jamais il n'aurait frappé ou forcé une femme, jamais il n'aurait tenter de la tuer pourquoi diable aurait-il meme penser à faire une chose pareille? Il avait été trahit par celle qu'il pensait aimer à la folie, par son meilleur ami et le pire de tout, par sa propre famille. Sa mère et son père eux-mêmes étaient allés portés plaintes il avait tout ça pour l'argent, par jalousie et par envie. Si trois semaines plus tôt, il était le milliardaire le plus prisé de l'Italie, maintenant il n'était qu'un simple violeur, un homme qui battait sa femme et qui avait meme tenter de l'assassiné.

— Non ce n'est pas lui je peux vous le jurer, il n'aurait jamais pu faire une chose pareille. Pitié ne me le prenez pas. S'exclama une jeune fille dans l'assistance en regardant le jeune homme se faire emmener par les policiers

Max se retourna vers sa petite soeur le cœur lourd. Sa jeune soeur Maria à peine âgée de quinze ans était la seule à l'avoir défendu. La pauvre adolescente était alitée depuis le début du procès, la nouvelle lui avait fait tellement de peine qu'elle avait strictement refuser de se nourrir, ce qui affectait sa santé au point de l'empêcher de marcher.

L'adolescente se fraya tant bien que mal un chemin au milieu des gens à l'aide de sa chaise roulante, et se jeta dans les bras de son frère en pleurant.

— Pitié ne me laisse pas, tu ne peux pas m'abandonner. Ne me laisses pas seule avec eux je t'en supplies. Sanglota-t-elle

Le jeune homme resserra ses bras autour de sa soeur pour la réconforter

— Ne pleures pas mia bella tout va bien ce passer

— Non, non tu sais que c'est faux, tout est faux. Pleura-t-elle de plus belle

— Il faut que tu soit forte pour moi, on se retrouvera bientôt je te le promet. Dit-il en lui faisant un dernier baiser sur le front

Il l'aida ensuite à s'asseoir sur son fauteuil, avant de se faire emmener par les gardes, laissant derrière lui, ses ennemis victorieux et sa petite soeur en larmes.

Il savait déjà ce qu'ils allaient lui faire, il savait qu'ils allaient la faire souffrir parce qu'elle avait tenter de le défendre et il savait aussi que derrière les barreaux il ne pourrait absolument rien contre eux.