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     :::::: kerem :::::::

Zeubi sa fait plus de trois semaines que j'ai placé mes hommes prêt de chez ce b* tard de kaïs.

Mais ce connard semble vouloir me mettre des bâtons sur les roues.

Y'a aucun moyen de m'approcher de la maison sans me faire choper par les keufs

Memed : Boss tout est prêt pour l'opération d'aujourd'hui

Moi: on va d'abord récupérer la marchandise et toute la thune de cet imbécile de Fouad ensuite nous irons chercher ma femme avant de nous barrer loin

Memed: ce ...ce n'est pas une bonne idée la police est ....

Moi: ta gueule tu crois que je vais partir sans elle

Lui: mais...

Moi: contacte nos hommes infiltrés et dit leur de faire en sorte d'être de garde aujourd'hui, l'heure est venue de récupérer ma Asli

Memed: elle est enceinte

Moi: je m'en branle , je me débarrasserai de son goss une fois en Sicile.

Memed : Voici les faux passeports

Moi: excellent travail

Memed : et pour l'argent , Nina vous fera le transfert une fois en Italie

Moi : ma nouvelle vie est sur le point de commencer.

Memed : que va t-on faire de la reuss à Nino

Moi: je m'en occupe.

Dis-je le sourire en coin.

Il finit par se retirer.

Je tire un dernier coup sur ma clope avant de me diriger vers la cave.

Et Oui nous ne sommes plus dans le petit appartement de cette KEH de Nina.

J'ai décidé de revenir dans une de mes villa non connus par les flics.

Puisque j'ai été assez intelligent pour l'acheter au nom de ma daronne.

Cette bouffonne qui vit la belle vie avec sa nouvelle mife.

J'ouvre la porte en grand

Farah : 👀

Moi : sortez !

Je referme la porte puis m'approche d'elle.

Farah : que... veux-tu....

Moi: à ton avis 😏

Elle : non je t'en supplie

Moi: la ferme. Tu crois que je ressens du plaisir en te b***** non tu n'es même pas un peu bonne s*l*p* mais je kiff te faire souffrir toi et toute les autres p*t*

Farah : tu es un malade mental.

Je lui saisi le cou et l'oblige à se mettre debout.

Moi: kxkxkxkx. Un psychopathe 😁

Farah : où est mon frère

Moi:  en enfer

Farah : tuf ( crache sur moi )

Je fronce les sourcils puis lui fou une gifle qui lui pète la lèvre

Farah : kelb.

Je sors le couteau de ma poche puis déchire sa nuisette .

Moi: par contre ta poitrine elle est ouf.

Dis-je en plongeant mon visage dessus.

Moi: hum.

Je voulais juste un bébé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant