Chapitre 2

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/!\ Scène Sexuelle explicite en debut de chapitre /!\

Il prends ma main et m’entraine vers les escaliers et on s’en va dans une chambre au fond du couloirs, il retire la clé dans la poche de son blouson, il ouvre la porte et  allume la lumière, la chambre est un peu grande et à mon grand étonnement il n’a qu’un lit, ce qui veut dire qu’il habite seule dans sa chambre pas de coloc, quelque affaires traînent par ci et par là, un bureau et un dressing.

- Désolé pour le bazar. Dit-il en souriant

Je rigole, puis je me jette sur lui pour l’embrasser, je ne sais pas si c’est l’alcool et la drogue dans mon sang qui me fait faire n’importe quoi mais ses lèvres me tentent depuis que mes yeux ont poser sur eux en bas

- Attend, Attend, dit-il, tu semble vachement jeune, t’es en première année, c’est ça?

-  Oui c’est ça, alors tais toi et profite

Et comme dit, il se tait et continue de m’embrasser, d’abord doucement et puis c’est devenu plus fougueux sa langue caresse mes lèvres et je le laisse passer pour trouver son homologue, ses mains passent sous le débardeur que j’avais mis sous un sweatshirt pour caresser ma peau, le contact est électrisant, comme un choc et tout ce qui ce trouve dans mon ventre se liquéfie, il descend ses lèvres vers mon cou, il suçote et mord, je gémis quand ses doigts retrouve mes mamelons durcit, je sens mon clitoris pulser dans ma culotte, puis un moment il passe ses bras musclés sous mes fesses et me lève pour se diriger vers le bureau car il était plus près, toujours sans interrompt notre baiser, après avoir enlever mes hauts et moi aussi je le débarrasse de sa veste et de son T-shirt, il me demande d’un regard s’il peut continuer je hoche la tête, alors il me débarrasse de mon jeans et de ma culotte par la même occasion, puis d’un geste pressante il retire aussi son pantalon, il passe juste un doigt dans mon intimité

- Tu es déjà toute tremper, dit-il d’une voix rauque

- Alors perdons pas de temps, dis-je

Alors il me pénètre d’un coup, je couine de douleur et il se rend contre de la situation, il se stoppe net

- Attend, t’es… t’es vierge? Dit-il les yeux écarquillés

Je hoche la tête, les joues rouge de honte,

- Merde, merde, merde, il panique, il se retire doucement, viens, il me porte alors je passe mes jambes autour de sa taille et il me couche sur le lit, Je ne veux pas te faire de Mal d'accord, il recommence a m’embrasser puis il prends mes seins dans sa main en jouant avec mon mamelon et il me pénètre doucement la douleur se dissipe petit à petit et laisse la place au plaisir puis après quelque vas-et-viens,  il augmente l’intensité de ses coups de reins, je mord ma lèvre inférieure pour ne pas trop gémir, il passe ses doigts pour délivrer ma lèvre inférieure contre mes dents

- Ne fait pas ça, chuchote t-il, je veux t’entendre, alors mes gémissements commence a s’élever dans la chambre, ses doigts meurtris ma hanche comme s’il essaye de se retenir.

Ses coups de reins deviennent plus puissant, et ses grognement aussi et il me tiens de façon plus possessif, comme s’il voulait poser sa marque sur moi et laisser sa trace sur ma peau, je pleurs presque de plaisir, je sens que la fin est proche, une vague de sensation me frappe de plein fouet, la bouche sèche, les oreilles qui bourdonnent, tous les muscles de mon corps se contractent jusqu’a mes orteils, je lâche un cris de délivrance  et pendant une seconde j’ai cru voir ses yeux change de couleur, il sont passer de verts a un couleur presque rouge, mais je n’ai pas le temps de les voir vraiment qu’il passe sa main sous ma nuque pour rapprocher ma tête contre son torse et j’entends un bruit presque bestiale sort de sa poitrine, on dirait un animal, il reste en moi pendant au moins deux bonnes minutes et maintient toujours ma tête contre son torse dur. C’etait l’une des meilleurs sensation de toute ma vie, mais aussi la plus étranges aussi.

- C’est la première fois que je baise une fille dans mon lit.

Je sursaute

- Alors je peux m’estimer chanceuse? Dis-je d’une petite voix alors que je me sens parti déjà dans les bras de Morphée

Il parle mais je n’entend plus ce qu’il dit.

J’émerge avec on my way de Sabrina Capenter dans les oreilles, je prends un instant avant de réaliser que c’est la sonnerie de mon portable. Qui m’appelle à cette heure? oh et j’ai mal à la tête, un grognement se faire entendre, et d’un coup la réalité me frappe en pleine gueule, je me trouve dans le lit d’un inconnu qui d’ailleurs me tienne la taille comme si j’étais sa copine ou un truc dans le genre, avec une bonne  gueule de bois. Merde et il doit être malade en plus, sa température doit être plus de 40 degré.
Mon portable me sort de ma torpeur et je me lève pour le récupérer.

Merde j’suis nue, j’arrache la couverture d’un coup ce qui réveille le beau dieu grec avec qui j’ai couchée hier soir, il grogne, je prends mon téléphone et je décroche

- Allô, je réponds d'une voix encore endormie

Danai Roselyn Fletcher mais bon sang es tu !? J'étais sur le point d’appeler la police ! La voix de ma mère resonne

- Bonjour à toi aussi maman, contente que tu aie remarquer que t’avais une fille, dis-je en me massant la tempe gauche

- Je n’ai pas le temps pour tes caprices d’enfants pourris gâtés, ramènes tes fesses ici  maintenant !! Notre avion décolle dans deux heures et toi t’es je-ne-sais-où, tu te donne une mission pour me pourrir la vie, c’est ça? elle hurle a l’autre bout du fils

- J’arrive, pas la peine de crier, je raccroche

Je me dépêche d’enfiler mes vêtements

- Je sais ce que c’est… la voix de l’inconnu se lève dans la chambre

- Quoi? je demande sec

- D’avoir des parents tout le temps sur ton dos

Je ne sais pas comment il a fait pour entendre notre soit disant conversation avec ma mère et peu importe je le laisse pas faire

- Tu ne me connais pas, fais pas genre.

J’enfile mes baskets et je prends mon portable et file vers la porte de la chambre

- Tu m’as pas dit ton nom, dit-il quand je suis face a la porte

- A quoi bon? Tu ne me verras plus jamais, je claque la porte en sortant puis je file vers les escaliers pour sortir.

L'Héritier des Lune Bleue (EN PAUSE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant