Chapitre 2: L'aide.

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Pdv Irène.

Je fus donc après avoir été proclamer esclave personnel du jarl pour je ne sais quelle raison contrainte de suivre mon bourreau et kidnappeur.

Une fois dans sa maison il m'indiqua une couche sommaire pour dormir.
Je lui demanda après un moment de silence pourquoi m'avoir choisi moi?

Il me dit dans ma langue et avec la plus grandes sincérité du monde malgrès son ton sévère: Maintenant que j'y penses votre cuisine me rappelle celle de ma défunte mère.

Irène: Paix à son âme malgrès les circonstances je suis sincèrement désolée pour vous.

Ragnar: Comment t'appelles tu?

Irène: Je me nomme Irène puis-je me permettre de vous retourner la question?

Ragnar: Je me nomme Ragnar. Cependant une chose m'intrigue.

Irène: Dîtes moi.

Ragnar: Tu ne semble pas avoir peur de moi. Pourquoi?

Irène: J'ai appris à n'avoir peur que de mon Dieu. Avoir peur d'un humain ne sert à rien même si il est vrai que je vous crain même si je ne le laisse pas transparaître.

Ragnard: Je vois. Dors maintenant.

Je l'écouta et chercha une place confortable sur cette faible couche et finit de part la fatigue du voyage et de la jourlée part trouver le sommeil.

Je fut réveiller aux aurores par le jarl qui se leva et m'ordonna de lui prépérer son petit déjeuner.

Un peu déboussoler je chercha la cuisine et finit par la trouver, elle était plutôt rudimentaire par rapport à celle pour les repas de fêtes.

Je m'attela donc à la tâche et prépara différents mets dans le but de faire le petit déjeuner le plus copieu possible.

Une fois ma tâche accomplis je rapporta chaque plats dans la chambre du Jarl en les posants sur la table.

Satisfait de mon travail il me laissa un verre de lait et du pain avec du beurre.
J'en fus ravie n'ayant rien manger de mieux depuis quelques jours.

Ensuite je m'attela à la tâche en nettoyant la maisonnet de fond en comble. Pendant que le Jarl était partie seul à la chasse.

Pour continuer je fit une petite escale en cuisine pour saluer ma mère folle d'inquiétude. Je la rassura donc sur mon sort puis dû partir pour chercher l'eau à la rivière.

La journée continua ainsi entre moqueries et mesquineries des autres femmes sur mon passage qui elle étaient libres et remarques désobligeantes des hommes que je cherchais à éviter.

Je continuais inlassablement de remplir les réserves d'eau avec les autres femmes qui avaient la gentillesse de m'aider étant moins forte physiquement qu'elles.

Je me rendis ensuite dans la maison de Ragnard si je peux l'appeler comme ça pour préparer le repas du midi en prévoyance de son arrivée et mis la table pour lui une fois le gibier et les légumes pret ainsi que la cuisine bien rangé.

Mais une heure et demi plus tard il n'était toujours pas là. Alors je pris un bout de pain avec un peu de viande plus un autre morceau que je ramena discrètement à ma mère dans la cuisine caché sous l'ourlet de ma robe.

Une fois mon déjeuner pris avec ma chère mère en cachette encore une fois.
Je pris pour la énième fois le chemain vers le lac.

Cependant sur ma route il me sembla entendre des appels à l'aide. Je suivis la voix à taton craignant que ce ne soit qu'un piège.

Je m'approcha et distingua Ragnard blessé, sur le sol avec son cheval à coté.
Je m'approcha et le rassura en lui disant après lui avoir fait un garot sur sa jambe blessé que je me hâteterai d'aller chercher de l'aide ce que je fis.

Je courus jusqu'au village en criant le mot jarl et en indiquant la route qui mène au lac.

Dans l'imcompréhension total certains me suivirent et ils furent stupéfait de trouver leur chef aussi atteint.
Ils le portèrent sur son cheval puis nous avons pris la direction du village.

Ils l'enmenèrent chez la guérisseuse je m'apprétait à partir pour continuer mes corvées. Lorque un homme m'indiqua l'entre de la guériseuse et m'invita à le suivre d'un signe de la main.

Je rentra dans la chambre et vit le Jarl me regarder de ses yeux bleu perçant.
Il faut reconnaître qu'il est très beau.
De grande taille et de stature imposante avec sa barbe brune et sa tresse bien tissé il avait de l'allure.

Toujours dans ma langue il me dit de m'approcher et rajouta: Je te remercie infiniment ma dête envers toi et immense je ne peux t'assurer le statut de femme libre mais je peux le donner à ta mère pour récompenser ton acte plein d'humanité envers ton propre ravisseur.

Folle de joie j'accepta promptement la décision du chef des vikings de rendre à ma mère sa liberté.

Je l'annonca à ma mère à qui lui fit attribuer une maison. Après avoir découverte la demeure de ma très chers maman une femme s'avança vers moi.

Elle me dit en irlandais qu'elle n'avait jamais eu l'occasion de se présenter et me dit quand tant que petite soeur du Jarl elle me remerciai infiniment et que pour me montrer sa gratitude elle accèpterai volontier une requête de ma part sauf ma liberté.

Je la remercia de cette faveur et lui demanda étant illétré et ne savant parler le danois de m'apprendre leur langue.

Elle parut surprise et enjoué et accepta puis me dit chaleureusement aurevoir

La belle du Viking.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant